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Revue de presse de l'Histoire - La Seconde guerre mondiale le cinéma les acteurs et les actrices de l'époque - les périodes de conflits mondiales viètnamm corée indochine algérie, journalistes, et acteurs des médias

Organisation secrète d'action révolutionnaire nationale (Osarn) dit La Cagoule

La Cagoule est une organisation politique et militaire clandestine de nature terroriste, active dans les années 1930 en France. Originellement nommé Organisation secrète d'action révolutionnaire nationale (Osarn) par ses fondateurs, puis abrégé Osar, le groupe est devenu dans la presse Comité secret d'action révolutionnaire (CSAR) suite à une faute dans un rapport d'informateur. Il est plus connu sous le surnom « la Cagoule », sobriquet choisi par Maurice Pujo pour exprimer son dédain envers cette organisation créée par des dissidents de l'Action française.

D'extrême droite, anticommuniste, antisémite, antirépublicaine et proche du fascisme, la Cagoule commet plusieurs crimes de droit commun (assassinats, attentat à la bombe, sabotages et trafics d'armes). Parallèlement, elle tente une « intox » auprès de l'armée en ébruitant de fausses rumeurs relatives à une insurrection communiste. L'organisation est démantelée par la police en 1937-1938.

Après la défaite et l'armistice de 1940, certains anciens « cagoulards » optent pour la Résistance intérieure ou la France libre, tels le colonel Groussard ou Maurice Duclos. D'autres se rallient au gouvernement de Vichy ou deviennent des « ultras » parisiens de la collaboration, notamment l'ex-dirigeant cagoulard Eugène Deloncle qui fonde le Mouvement social révolutionnaire. Les rapports entretenus à divers degrés avec d'anciens cagoulards par certains hommes d'affaires et hommes politiques français, tels le fondateur du groupe L'Oréal, Eugène Schueller, et le président de la République François Mitterrand, ont maintenu l'attention publique sur l'organisation après la Seconde Guerre mondiale

Le procès de la Cagoule (organisation d'extrême-droite, auteur de plusieurs attentats) s'ouvre le 11 octobre 1948 devant les Assises de la Seine.

Le procès de la Cagoule (organisation d'extrême-droite, auteur de plusieurs attentats) s'ouvre le 11 octobre 1948 devant les Assises de la Seine.

Le 6 février 1934, une manifestation antiparlementaire organisée à Paris devant la Chambre des députés par des groupes de droite, des associations d'anciens combattants et des ligues d’extrême droite tourne à l'émeute. La crise se poursuit par de nouvelles manifestations violentes organisées par les ligues. À terme, soixante-dix des principaux membres de la 17e section des Camelots du roi protestent contre l'apathie de Charles Maurras et quittent le mouvement. Parmi eux Eugène Deloncle fonde le Parti national révolutionnaire (PNR) en décembre 1935. Le 13 février 1936, lors des funérailles de l'intellectuel d'extrême-droite Jacques Bainville, la voiture de Léon Blum est interceptée fortuitement et Léon Blum agressé. Le 18 juin 1936, le Front Populaire de Léon Blum dissout les Ligues. Le même jour le PNR se dissout et laisse la place à l'Osarn (« Organisation secrète d'action révolutionnaire nationale ») ou Comité secret d'action révolutionnaire (CSAR). Sa tête pensante est Eugène Deloncle, son bras-droit Jean Filiol.

Organisation

Après avoir été soigneusement sélectionnés, les membres du groupe se soumettent à un rite d'initiation sur le modèle de la franc-maçonnerie, et adoptent un pseudonyme. La plupart appartiennent à la bourgeoisie ou aux milieux aisés (ingénieurs, cadres, etc). « La direction est organisée sur le modèle de l'armée, dans un état-major comprenant 4 bureaux : discipline, recrutement, organisation (responsable Deloncle), renseignements (Docteur Martin), instruction-opérations (colonel Cachier), transports-munitions (colonel Benoit puis Moreau de la Meuse). À la tête se trouve le chef, Deloncle assisté d'une sorte de conseil privé informel dont font partie Filiol, Corrèze, Jeantet et Henry Deloncle : tous proviennent de l'Action française. Le dispositif de terrain n'est pas sans rappeler celui des dispos : petites unités de base, dizaine puis trentaine. 

Chaque brigade comprend deux régiments, chaque régiment deux ou trois bataillons, chaque bataillon est formé de 3 unités et chaque unité comporte 3 cellules. Tous les hommes sont armés de pistolets ou de fusils de chasse pour les échelons les plus bas. Chaque unité est pourvue d'un fusil-mitrailleur. Le fichier des adhérents est codé à l'instar de celui des Croix-de-Feu, la technique de codage étant beaucoup plus sophistiquée. Organisation militaire perfectionnée, certes, elle tient autant de l'organisation autoritaire et hiérarchisée de l'armée que de l'entreprise. C'est qu'il arrive à Deloncle, son concepteur, de traiter ses hommes comme de simples salariés. »

Si l'Action française sait que l'Osar existe, c'est qu'une partie non négligeable des dirigeants sont d'anciens camelots ou simplement, d'anciens militants. C'est aussi le cas de Maurice Cochinaire, de Nancy, chef de la Cagoule d'Alsace-Lorraine ; il a été trésorier de l'Action française à Nancy en 1924 et responsable des Camelots du Roi pour l'Est jusqu'en 1936. Mais pour les membres de la Cagoule, lassés de l'attentisme de Pujo et de Maurras, l'heure est venue d'agir. En janvier 1935, Deloncle démissionne et fonde, dans le secret le plus absolu, l'organisme conspirateur. La Cagoule prétend œuvrer à l’échec d'un « complot communiste » (dont le Front Populaire serait une étape) et entend pour ce faire s'emparer du pouvoir à l'occasion d'un coup d’État. De nombreux contacts sont pris dans cette optique auprès d'officiers de l'armée.

En raison de sa composition sociologique le groupe bénéficie de rapports privilégiés avec les milieux industriels et économiques. Ainsi, pour satisfaire ses besoins financiers, il peut compter sur les apports de la Fédération nationale des contribuables dirigée par le PDG de Lesieur, Jacques Lemaigre Dubreuil. Ami intime d’Eugène Deloncle et fondateur de la société l'Oréal, Eugène Schueller met ses moyens personnels à la disposition de la Cagoule qui organise des réunions dans son propre bureau du siège de la société. En outre, il aide financièrement l'organisation. Michelin financera également le mouvement à hauteur de trois millions.

Des jeunes gens, amis et étudiants pour la plupart, résidant à l’internat des pères maristes, au 104, rue de Vaugirard à Paris, fréquentent alors les chefs de la Cagoule. Sans que tous adhèrent au mouvement ou fassent état publiquement d'une quelconque approbation, il y a parmi cette bande d'amis Pierre Bénouville, issu de l'Action française, François Mitterrand, Claude Roy et André Bettencourt. Le nom de Georges Loustaunau-Lacau, officier de l'armée française et fondateur des réseaux Corvignolles, apparaît également. 

Action subversive

Anticommuniste, antisémite et antirépublicain, ce mouvement de tendance fasciste mène, à partir de 1936, des actions de déstabilisation de la République. Gabriel Jeantet affirme au journaliste Philippe Bourdrel que Deloncle et Duseigneur rencontrent le général Giraud à Nancy en 1936. D'après les souvenirs laissés par le docteur Martin, Giraud, alors gouverneur militaire de Metz, aurait promis son aide à Deloncle en cas de soulèvement communiste. Le chef de l'Osarn lui aurait annoncé que les cagoulards se rangeraient sous ses ordres en échange. Très satisfait, Giraud se serait montré « évidemment d'accord pour travailler avec les gens de l'Osarn et souhaite la meilleure réussite à l'entreprise de Deloncle et Duseigneur… ».

Le maréchal Franchet d'Espèrey accueille favorablement Deloncle et Duseigneur et promet son soutien à la condition qu'ils assassinent quelqu'un pour montrer leur détermination ; ce sera Dimitri Navachine, journaliste et économiste russe en affaire avec l'URSS, directeur de la Banque commerciale pour l'Europe du Nord de 1925 à 1930 et ami personnel du ministre Anatole de Monzie, lequel fit reconnaître l'URSS par la France et négocia le remboursement de l'emprunt russe. Il est assassiné de six coups de baïonnette tronquée, dont un en plein cœur, par Filiol le 23 janvier 1937, avenue du Parc-des-Princes, entre le Bois de Boulogne, dont il rentrait comme à son habitude à 10 h 30, et son domicile du 28 rue Michel-Ange.

L'organisation exerce aussi une répression impitoyable auprès de ses membres coupables d'indélicatesses. Sont ainsi éliminés Léon Jean-Baptiste en octobre 1936 et Maurice Juif, le 8 février 1937, probablement pour des malversations financières. Le mouvement tisse des liens avec des dirigeants fascistes du gouvernement de Benito Mussolini en Italie et achemine des armes au général Francisco Franco en Espagne. En échange, la Cagoule obtient un appui financier. Les frères Carlo et Nello Rosselli, deux intellectuels antifascistes italiens, sont ainsi assassinés le 9 juin 1937 pour le compte des services de renseignement fascistes à Bagnoles-de-l'Orne. L'Osarn reçoit des armes du gouvernement italien en contrepartie. Le 29 juillet 1937, le groupe organise la destruction sur l'aérodrome de Toussus-le-Noble d'avions destinés à l’Espagne républicaine.

L'attentat terroriste de l'Étoile

Le 11 septembre 1937, afin d’en faire accuser les communistes, l'Osarn commet deux attentats à la bombe à Paris, connus sous le nom d'« attentats de l'Étoile » en raison de la proximité de la place de ce nom. Cette manœuvre de provocation vise la confédération générale du patronat français, au 4 rue de Presbourg et l'Union des industries et métiers de la métallurgie, au 45 rue Boissière. Les gardiens de la paix Victor Legnier et Maxime Trichet, en faction rue de Presbourg, sont tués par l'explosion. L'enquête permet d'établir la responsabilité de Pierre Locuty, membre de la cellule des « Enfants d'Auvergne » dirigée par François Méténier.

Pierre Michelin, fils de l'un des fondateurs de l'usine, est lui-même suspecté d'avoir aidé au financement de cette section de la Cagoule. Plus encore, dans une interview accordée à l'hebdomadaire Marianne à la fin de janvier 1938, un enquêteur dévoile que Pierre Michelin était l'un des chefs de cette section. Plusieurs de ces membres appartiennent à l'encadrement de l'usine Michelin.

Le 11 janvier 1938, dans les journaux L'Ouest-Éclair et Excelsior, Marx Dormoy annonce l’arrestation de trois des auteurs des attentats de l’Étoile : l'ingénieur de Michelin, Pierre Jules Locuty, qui passe aux aveux, François Méténier, ingénieur, un ancien industriel à Chamalières, qui est le principal suspect et l’industriel Moreau de la Creuse. Moreau de la Creuse et Méténier nient toute participation, mais l’ingénieur Henri Vogel est arrêté à son tour suite aux aveux de Locuty. Le lien avec le CSAR est ainsi établi.

Le putsch raté de la nuit du 15 au 16 novembre 1937

Deloncle et ses hommes veulent faire un gros coup en évoquant l'imminence d'une prise de pouvoir par les communistes. Considérant que le climat anticommuniste est propice, tandis que la surveillance policière envers son propre mouvement s'intensifie, Deloncle mobilise les troupes cagoulardes à Paris. Cependant, les militaires chargés de vérifier le soi-disant soulèvement communiste s'aperçoivent du bluff et ne s'associent pas à l'aventure. Constatant son échec, Deloncle annule toute l'opération, provoquant ainsi la fureur de Filiol. À 5 heures du matin, les groupes de cagoulards reçoivent la consigne de se disperser.

Assassinat de Marx Dormoy

Après l'échec de leur coup d’État dans la nuit du 15 au 16 novembre 1937, le complot est révélé au grand jour. Le ministre de l'Intérieur Marx Dormoy fait démanteler l'organisation, le 23 novembre. Des caches d’armes réparties sur tout le territoire sont découvertes. En 1938, plus de cent vingt membres de la Cagoule sont arrêtés, dont le général Edouard Duseigneur et le duc Joseph Pozzo di Borgo, respectivement président et vice-président de l’Union des comités d’action défensive (UCAD), qui aurait été la couverture politique de la Cagoule. Cela ne permet cependant pas de détruire complètement ses ramifications dans les milieux économiques, en particulier dans les grandes entreprises qui, selon les Renseignements généraux et la police judiciaire, ont financé le mouvement terroriste. Le 5 juillet 1941 Marx Dormoy sera assassiné à l'hôtel du Relais de l'Empereur de Montélimar par d'anciens membres de l'organisation terroriste, en représailles. 

Après l'armistice de juin 1940, plusieurs anciens membres ou ex-sympathisants de la Cagoule se rallièrent au gouvernement de Vichy. Parmi eux, beaucoup d'adeptes de la « France seule » croient en un double jeu de Pétain. Cet espoir se dissipera progressivement avec l'entrevue de Montoire.

Certains cagoulards étaient de fervents nationalistes, anti-allemands et hostiles à toute compromission avec l'occupant. La lutte pour la libération de la patrie devient donc une priorité. La victoire soviétique de Stalingrad en 1943 fait comprendre que l'Armée rouge de Staline écrasera le Reich et apportera la victoire militaire aux Alliés. Certains de ces adeptes du complot et de l'action clandestine optent pour la Résistance : 

  • Corvisart ;
  • Alfred Heurteaux : fondateur du réseau Hector ;
  • Claude Hettier de Boislambert, qui devient dès juin 1940 un proche collaborateur du général de Gaulle ;
  • Claude Lamirault : rejoint Londres en octobre 1940, sera parachuté pour créer le réseau Jade-Fitzroy ;
  • Joseph Pozzo di Borgo, Aristide Corre, Michel Harispe ;
  • Léon Faye, François Méténier : membres du réseau Alliance ;
  • Maurice Duclos également l'un des premiers à rejoindre Londres, avait fait de la prison dans les années 1930 à la suite d'une affaire de trafic d'armes pour le CSAR ;
  • Paul Dungler : fondateur du réseau Septième colonne d’Alsace ;
  • Pierre Bénouville ;
  • Pierre Fourcaud : fondateur du réseau Brutus. Il a été désigné comme un ancien membre de la Cagoule par Duclos, l'a nié lui-même avant d'avouer à Dewavrin en avoir fait partie avant de la quitter à la suite d'un attentat violent.
  • André Dewavrin, qui travaillait à Londres avec Duclos et Fourcaud a été accusé par André Labarthe d'avoir fait partie de la Cagoule avec la carte no 93, sans que cette accusation puisse être fondée. 

Pendant la guerre le réseau d'influence de la Cagoule semble donc s'étendre à la fois au cœur de la France libre et dans le régime de Vichy. C'est ainsi par exemple que le 20 août 1940, Maurice Duclos envoyé en France par De Gaulle, peut rencontrer des proches collaborateurs du Maréchal Pétain par l'intermédiaire de Gabriel Jeantet. L'ancien cagoulard Georges Groussard fonde les groupes de protection du maréchal Pétain mais aussi le réseau de Résistance « Gilbert » alors que Jacques Lemaigre Dubreuil, ancien financier du journal L'Insurgé (dont les locaux avaient servi préalablement de siège au Parti national révolutionnaire et social de Deloncle), soutient le général Giraud, quand Jacques Corrèze, après avoir combattu sur le front de l'Est rentre en France au sein d'un réseau de la résistance. 

L'après-guerre

À la Libération, Jean-Marie Bouvyer bénéficie du témoignage en sa faveur de François Mitterrand, passé à la résistance en 1942. En effet, Bouvyer a caché chez lui du matériel et fabriqué de faux papiers pour le Mouvement national des prisonniers de guerre et déportés, le mouvement dirigé par François Mitterrand et Maurice Pinot. D'autres témoins, comme le capitaine FFI Maubois, ont également attesté de services rendus. Bouvyer a noué une amitié personnelle avec François Mitterrand

Lors de son procès, il affirme avoir renié ses idées des années 1930, se disant prêt à dénoncer tous les dirigeants de la Cagoule qu'il connaît et même à s'entendre avec les communistes autrefois abhorrés. La mère de Jean-Marie Bouvyer devient en 1946 la marraine de Jean-Christophe Mitterrand. François Mitterrand, sans avoir jamais été cagoulard, entretient ainsi des rapports avec certains anciens dirigeants du groupe.

Le procès de la Cagoule eut lieu en 1948. La plupart des Cagoulards sont acquittés, les plus compromis sous l’Occupation sont condamnés aux travaux forcés. Eugène Schueller, alors patron du groupe L'Oréal, un soutien inconditionnel d'Eugène Deloncle et de Marcel Déat, collaborationnistes notoires, n'est cependant pas inquiété à la Libération, ayant donné des gages à la résistance, comme au régime de Pétain, ce qui lui permet de mettre Louis le fils de Deloncle à l'abri des poursuites. 

Historiographie

Annette Finley-Croswhite et Gayle K. Brunelle, deux historiennes américaines qui travaillent depuis plusieurs années sur la Cagoule, évoquent des obstacles mis par certains conservateurs aux Archives nationales, pour accéder aux dossiers qu'un jeune conservateur leur avait signalé. Pour autant, il n'aborde seulement que quelques-unes des problématiques. On regrette aussi la disparition des mémoires de Pierre Mondanel, le policier qui a démantelé la Cagoule, manuscrit déposé après son décès par sa famille à la Bibliothèque nationale. Les principales sources sur la Cagoule sont les archives du procès, conservées aux archives municipales de Paris, les dossiers de police et de justice, conservés aux Archives nationales, aussi bien au site de Fontainebleau qu'à celui de Pierrefite-sur-Seine, les archives de Xavier Vallat, avocat de plusieurs cagoulards, conservées aux archives municipales de Lyon. On ignore où sont conservés les carnets d'Aristide Dagore, dont Christian Bernadac a publié les principaux extraits.

Tout en évoquant une supposée « omerta » des historiens français au sujet de la Cagoule, l'essayiste Michel Rateau propose une relecture de l'histoire de l'Osarn, selon lui émanation ultime d'un complot politico-militaire visant à une prise de pouvoir contrôlée de l'État républicain, en vue de le réformer. Cette conjuration aurait été approuvée et appuyée par les plus hauts gradés des forces armées et certains dirigeants politiques (dont le président du Conseil André Tardieu). D'après l'auteur, l'intervention armée à laquelle se préparent les troupes de l'Osarn (Deloncle) et de l'UCAD (Duseigneur) s'intègrerait ainsi aux divers plans de défense contre-insurrectionnels élaborés par les autorités militaires en cas de soulèvement communiste, non seulement à Paris mais aussi en province. L'historien Jean-Marc Berlière juge cette « thèse [...] stimulante » mais considère qu'elle doit « être approfondie notamment par une recherche dans les différentes archives désormais accessibles ou en passe de l’être (DST, DGSE, SHD). » 

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