Callas Maria

Publié le par Mémoires de Guerre

Sophia Cecilia Kalogeropoulos dite Maria Callas est une cantatrice grecque née le 2 décembre 1923 à New York et morte le 16 septembre 1977 à Paris. Surnommée « la Bible de l'opéra » par Leonard Bernstein, « la Callas », telle qu'elle est couramment appelée, a bouleversé l'art lyrique du XXe siècle en valorisant l'approche du jeu d'acteur, jusqu'alors relégué au second plan. Entourée des meilleurs artistes de son époque (Boris Christoff, Giulietta Simionato, Giuseppe Di Stefano, Mario del Monaco, Tito Gobbi, etc.) et s'étant produite sur les principales scènes d'opéra du monde (Venise, Rome, Paris, New York, Milan, Mexico, Londres, Buenos Aires, etc.), Callas demeure encore au XXIe siècle l'une des cantatrices les plus célèbres, à la fois par le timbre très particulier de sa voix, son registre étendu de près de trois octaves, sa grande virtuosité alliée à un phrasé unique et, enfin, son talent de tragédienne lui permettant d'incarner ses personnages avec une grande intensité dramatique (Lucia, Médée, Norma, Tosca, Violetta). Suscitant les passions — ce qui lui valut d'être autant adulée que décriée — Maria Callas reste, tant par la réussite exceptionnelle de sa vie professionnelle que par sa vie privée mouvementée, l'icône même de la « diva ». 

Callas Maria
Carrière

Maria Callas est née à Manhattan (Etats-Unis) le 2 décembre 1923, dans une famille d’immigrés grecs. Sa mère est passionnée de musique, et commence par donner des cours de piano et de chant à sa fille ainée, Jackie, avant de se rendre compte du talent de Maria. Elle l’incite donc à prendre des cours de piano et de chant. En 1936, les Callas se séparent, et la mère de Maria Callas rentre au pays avec ses deux filles. A cette période, le talent de Maria devient de plus en plus manifeste. Désormais, elle ne vit plus le chant comme une corvée imposée par sa mère, mais comme une vocation. En 1937, Maria Callas entre au Conservatoire National Grec. Elle y étudie avec Maria Trivella, qui lui conseille de chanter dans une tessiture plus élevée que le contralto qu’elle pratiquait jusque-là. Elle apprend donc des rôles de soprano dramatique, qui correspondent à sa voix puissante au timbre sombre. En 1938, elle se produit sur scène pour la première en fois dans un récital de fin d’année, où elle chante un extrait de Tosca de Puccini. En 1939, elle donne sa première représentation d’opéra, dans le rôle de Santuzza dans une production étudiante de Cavelleria Rusticana de Mascagni, âgée seulement de quinze ans. En 1939, elle passe du Conservatoire National Grec au plus prestigieux Conservatoire d’Athènes. C’est là qu’elle passe ce qu’elle estimera être ses années les plus formatrices, auprès d’Elvira de Hidalgo. Celle-ci est une praticienne du bel canto. Ce répertoire, alors tombé en désuétude, dont les compositeurs les plus illustres sont Rossini, Bellini et Donizetti, met en avant la virtuosité de l’interprète, qui doit naviguer sans peine sur une tessiture étendue, et pouvoir assortir la mélodie d’un système élaboré de fioritures. Si ce style de chant tout en légèreté et souplesse semble en opposition avec le répertoire dramatique auquel elle est alors habituée, ce contraste contribuera pour beaucoup à son succès.

Elle fait ses débuts professionnels en 1941 à l’Opéra National Grec d’Athènes, dans un petit rôle, celui de Béatrice dans l’opérette Boccaccio de Franz von Suppé. En 1942, elle y joue son premier rôle important, Marta dans Tiefland d’Eugen d’Albert, et continue à s’y produire le long de la guerre, y débutant certains de ses rôles légendaires, en particulier Tosca. Après la Libération, elle part tenter sa chance aux Etats-Unis. A son départ, elle coupe complètement les ponts avec sa mère. Les débuts sont difficiles, d’autant que son timbre si caractéristique n’est pas du goût de tout le monde. Deux opportunités se dérobent. La première lui vient du Metropolitan, qui lui propose de chanter Madame Butterfly (Puccini) et Fidelio (Beethoven) à Philadelphie. Elle refuse, car les rôles doivent être chantés en anglais, ce qu’elle juge absurde, et qu’elle se trouve trop forte pour le rôle de Cio-Cio San. La deuxième lui vient de l’Opéra de Chicago, qui doit rouvrir en 1946 avec une performance de Turandot de Puccini, mais la production est annulée avant la première, la compagnie ayant fait faillite. En 1947, elle obtient une audition avec le directeur artistique des Arènes de Vérone pour le rôle-titre dans La Gioconda de Ponchielli. Elle décroche ainsi son premier grand rôle. Le chef d’orchestre en est Tullio Serafin, un ancien assistant de Toscanini, qui devient son mentor et collaborateur fréquent. A Vérone, elle rencontre également son premier mari, Giovanni Battista Menighini, qui sera son manager jusqu’à la dissolution de leur mariage. Elle enchaine avec la plupart des grandes scènes d’Italie. Ainsi, en 1947, elle fait son début à la Fenice dans le rôle-titre de Tristan et Isolde de Wagner. La même année, c’est au Teatro Communale de Florence qu’elle chante pour la première fois l’un des rôles qui resteront toujours associés à son nom, la Norma de Bellini.

En 1949, trois jours seulement après avoir chanté La Walkyrie (Brunnhilde) de Wagner à la Fenice, elle y chante Elvira dans Les Puritains de Bellini. L’annonce interloque : Brunnhilde est un rôle wagnérien par excellence, qui exige une voix de grande puissance, tandis qu’Elvira est prisée par les voix plus délicates, plus encore que Norma. Le grand écart paraît donc total, d’autant que Maria Callas doit apprendre le rôle à la dernière minute. Et pourtant, Les Puritains est un triomphe. Maria Callas insuffle justement une vigueur dramatique dans ce rôle, qui n’était alors considéré que comme un vain exercice de vocalise. D’ailleurs, l’interprétation du bel canto par la Callas est moins une innovation qu’un retour aux origines, puisque les compositeurs de ce répertoire n’écrivaient pas leurs rôles pour des sopranos légères mais pour des voix graves et sombres quoique capables d’aller dans un registre de colorature, comme Giuditta Pasta ou Maria Malibran. Maria Callas génère donc un regain d’intérêt pour le bel canto. La même année, elle effectue ses premiers enregistrements, permettant à sa voix si particulière d’être entendue à travers le monde. La Callas est d’ailleurs probablement la première diva de l’ère des enregistrements scéniques. Cette voix se distingue par ses trois registres différents : un premier dans les graves, sombre et dramatique, un deuxième dans les médianes, dont le timbre a souvent été comparé à un hautbois, et un troisième dans les aigus, d’une puissance et d’un éclat sans commune mesure avec la plupart des coloratures. Cette spécificité fait dire à certains que Maria Callas a trois voix, phrase qui peut être voulue comme un compliment ou comme une insulte. Les admirateurs de la Callas trouvent que cette diversité vocale permet de moduler la voix selon la tonalité de l’action, ce qui insuffle une richesse dramatique incomparable à chaque rôle qu’elle incarne, tandis que ses détracteurs considèrent ces registres disparates comme une hérésie.

En 1950, elle fait ses débuts à la Scala de Milan en remplaçant Renata Tebaldi dans le rôle d’Aida (Verdi). Sa rivalité avec cette dernière défraie la chronique tout au long de leurs carrières. Il semblerait cependant que cette rivalité ait été largement exagérée par les journaux de l’époque, qui n’ont eu de cesse de comparer la Callas avec cette autre très grande étoile de l’opéra, au style beaucoup plus conventionnel, donc bien mieux accueillie par les puristes. Elle fait son vrai début à la Scala en 1951, en Elena dans Les Vêpres Siciliennes de Verdi. Elle y reviendra régulièrement au cours de la décennie suivante. Elle s’illustre alors non seulement dans les classiques du répertoire, comme Norma ou la Traviata, qu’elle chante pour la première fois à Florence en 1951, mais aussi dans des œuvres moins données, qu’elle contribue à faire revivre. Ainsi, elle chante Médée de Cherubini, un autre de ses rôles fétiches, au Teatro Communale de Florence en 1951, ainsi qu’Armida de Rossini, à Florence également, en 1952. La même année, elle fait ses débuts à Covent Garden dans Norma, où chante également la jeune Joan Sutherland, qui deviendra l’une des chefs de file de la génération post-Callas. En 1953, elle réalise un célébrissime enregistrement de Tosca pour EMI, peut être son disque studio le plus renommé. La même année, alors qu’elle s’apprête à chanter Médée à Florence, elle entame un régime drastique : sa perte de poids aura un impact sur sa voix, mais son nouveau physique contribue à son aura scénique et à son statut de vedette. En 1954, elle chante La vestale de Spontini à la Scala.

C’est également en 1954 qu’elle fait ses débuts au Lyric Opera de Chicago dans Norma. La présence de Maria Callas à Chicago donne ses lettres de noblesses à la jeune institution. Pourtant, elle jure de ne plus remettre les pieds dans cet opéra après une performance de Madame Butterfly qu’elle y donne en 1955. En effet, les applaudissements n’ont pas encore cessé lorsqu'un marshal fait irruption dans sa loge pour lui apprendre qu'un ancien manager lui réclame de l'argent. Un paparazzi immortalise l’instant où Maria Callas, encore en kimono, pourchasse le marshal, son visage figé dans un rictus de rage. La photo, qui fait le tour du monde, contribue à cimenter son image de prima donna impétueuse. Toutefois, sa carrière est à son apogée. Elle réalise notamment deux de ses performances les plus légendaires à la Scala, dans les rôles de La Somnambule de Bellini et de Violetta dans La Traviata de Verdi, ainsi qu’une Lucia di Lammermoor (Donizetti) exceptionnelle à l’Opéra d’Etat de Berlin sous la direction de Karajan. Elle continue d'ailleurs peu après d'y réaliser certaines de ses performances les plus légendaires, comme celle du rôle-titre d’Anna Bolena de Donizetti en 1957. En 1958, elle fait ses débuts à l’Opéra de Paris en récital. La même année, la Traviata qu’elle enregistre à Lisbonne rentre dans les annales, tout comme sa Médée de Dallas.

La décennie 1960 est en dents de scie pour la Callas : sa voix se dégrade du fait du nombre important de concerts chantés, du régime drastique que la cantatrice s'impose et d'une maladie mal diagnostiquée. Les médias donnent désormais une grande importance aux aspects extra-professionnels de sa vie, tels que sa liaison avec le magnat grec Aristote Onassis, dont elle devient sa maîtresse en 1959, lors d’une croisière à laquelle ils participent tous les deux accompagnés de leurs conjoints. Au terme de la croisière, le mariage de Callas est pour ainsi dire terminé. Elle pense épouser Onassis, mais si celui-ci divorce de sa femme, il n’épousera jamais Maria Callas. Elle consacre tout de même de plus en plus temps à cette relation : ses apparitions scéniques se font sporadiques. Sa voix commence à échapper à son contrôle. Sa prise de rôle la plus fameuse durant les années 60 est celle de Carmen de Bizet, qu’elle enregistre à la salle Wagram en 1964, dans lequel elle parvient à transcender les limites de sa voix grâce à son intensité dramatique. Elle ne chantera cependant jamais le rôle sur scène. En 1964-1965, elle réalise ce qui s’apparente à une tournée d’adieu, donnant les rôles les plus emblématiques de sa carrière dans les plus grandes salles : Médée, Norma et Tosca. Sa performance de Tosca à Covent Garden est filmée par Franco Zefirelli. Cela demeure le seul film de la diva sur scène. Elle y donne son dernier opéra, Tosca, quelques mois plus tard.

Les dernières années de sa vie sont amères. Même si elle renonce à la nationalité américaine en 1966, ce qui revient à divorcer de Menighini, puisque la Grèce ne reconnaît alors que les mariages célébrés par l’Eglise Orthodoxe, Aristote Onassis conserve sa distance. Il met même fin à leur liaison en 1969 afin d’épouser Jacqueline Kennedy. La même année, elle joue Médée dans le film de Pasolini. Il ne s’agit pas d’une version filmée de l’opéra de Cherubini qu’elle a tant chanté, mais de son premier et unique rôle parlé. Le tournage s’avère éprouvant, et le film reçoit un accueil mitigé. En 1970, elle est hospitalisée après une overdose de barbituriques, qu’elle affirme accidentelle. En revanche, la série de master-classes en 1971-1972 à la Juilliard School est un réel succès, non seulement parce qu’elle fait salle comble, mais aussi car elle témoigne de réels dons pédagogiques. Elle entame une relation avec le ténor Giuseppe di Stefano, lui aussi en fin de carrière, avec lequel elle entame une tournée mondiale de récitals en 1973. Les critiques sont sans merci, mais le public est au rendez-vous. Son dernier concert a lieu le 11 novembre 1974 à Sapporo, au nord du Japon. 

Décès

La cantatrice se retire du monde dans son appartement parisien au troisième étage du 36 avenue Georges-Mandel, où ses seules occupations sont d'écouter ses vieux enregistrements et de promener ses caniches en empruntant chaque jour le même itinéraire : rue de la Pompe, rue de Longchamp et rue des Sablons. Elle tente de se suicider aux somnifères. La mort d'Onassis, qu'elle a accompagné jusqu'à sa fin, en 1975, achève de la murer dans sa solitude. Épuisée moralement et physiquement, prenant alternativement des barbituriques pour dormir et des excitants dans la journée, se soignant à la coramine pour ses brusques chutes de tension, elle meurt brutalement d'une embolie pulmonaire le 16 septembre 1977, à l'âge de 53 ans. Sur sa table de chevet sont retrouvés des comprimés d'un hypnotique, le Mandrax (méthaqualone), dont elle aurait pu, par accident, absorber une trop forte dose. Une cérémonie funèbre a lieu à l'église grecque orthodoxe d'Agio Stephanos (Saint-Stéphane ou Saint-Étienne), rue Georges-Bizet, le 20 septembre 1977. Parmi les personnes en deuil étaient la princesse Grace de Monaco, sa fille la princesse Caroline, Tito Gobbi et le producteur de films italien Franco Rossellini. 

Maria Callas est incinérée au cimetière du Père-Lachaise où une plaque (division 87) lui rend hommage mais dès le premier jour, l'urne funéraire disparut puis fut retrouvée miraculeusement deux jours plus tard. Ses cendres (ou ce que l'on pense être comme telles) seront dispersées en 1980 en mer Égée, au large des côtes grecques, selon de prétendues dernières volontés, jamais retrouvées. Ses biens sont vendus aux enchères, notamment ses effets les plus intimes tandis qu'une bataille juridique s'entame sur sa succession. Son ex-mari Giovanni Battista Meneghini allègue qu'il est l'héritier de son dernier testament rédigé en 1954 tandis que sa sœur se bat au nom de la famille Kalos. Finalement, un accord à l'amiable est trouvé et sa fortune, estimée à plus de 12 millions de dollars, est partagée entre Meneghini et sa mère Evangelia. À la fin de l'année 2004, Franco Zeffirelli fait courir le bruit que Maria Callas aurait été assassinée par la pianiste grecque Vasso Devetzi pour s'approprier les avoirs de la cantatrice, qui se monteraient à quelque 9 000 000 US$. D'après le biographe de la cantatrice, Stelios Galatopoulos, Devetzi s'insinue dans les affaires de Callas et agit comme si elle était son impresario. Cette assertion est confirmée par Jackie Callas dans le livre qu'elle a écrit sur sa sœur. 

Elle affirme que Devetzi réussit à détourner la moitié de la fortune de Callas en lui proposant de créer la Fondation Maria Callas destinée à payer les frais de scolarité de jeunes chanteurs. Après que des milliers de dollars eurent ainsi été détournés, Devetzi est finalement contrainte de déposer les statuts de la Fondation. En 2010, deux médecins italiens spécialistes en orthophonie prétendent, d'après des enregistrements de la cantatrice, que le déclin de sa voix et sa mort seraient dus à une dermatomyosite des cordes vocales et du larynx. Cette maladie dégénérative provoque en effet une trachéite affectant la voix. Traitée avec de la cortisone et des immunodépresseurs, ce qui peut entraîner à long terme une insuffisance cardiaque, cette connectivite, contractée à l'époque de sa forte perte de poids au milieu des années 1950, serait ainsi la cause de son décès. Telle était cette femme cosmopolite, née aux États-Unis, élevée en Grèce (qu'elle revendique comme étant sa véritable patrie), italienne par son mariage et décédée en France. Tous les projets de musées dédiés à sa mémoire et conçus dans ces pays ont échoué. 

Callas Maria
Filmographie

Actrice

  • 1966 : Adieux de Tabarin de Marcel Achard (moyen-métrage de 60 minutes)
  • 1968 : Mona Lisa de Werner Schroeter (moyen-métrage de 35 minutes)
  • 1968 : Callas Walking Lucia de Werner Schroeter (court-métrage de 3 minutes)
  • 1969 : Médée de Pier Paolo Pasolini (long-métrage de 110 minutes)
Discographie

CD

Opéras (enregistrements de studio)
  • Vincenzo Bellini :
  • Norma, dir. Tullio Serafin, Norma: Maria Callas, Adalgisa: Ebe Stignani, Pollione: Mario Filippeschi, Oroveso: Nicola Rossi-Lemeni, Orchestra del Teatro alla Scala, Milan, avril et mai 1954 (EMI Classics, Naxos)
  • Norma, dir. Tullio Serafin, Norma: Maria Callas, Adalgisa: Christa Ludwig, Pollione: Franco Corelli, Oroveso: Nicola Zaccaria, Orchestra del Teatro alla Scala, Milan, novembre 1960 Stéréo (EMI Classics)
  • I puritani, dir. Tullio Serafin, Elvira: Maria Callas, Arturo: Giuseppe di Stefano, Riccardo: Rolando Panerai Giorgio: Nicola Rossi-Lemeni, Orchestra del Teatro alla Scala, Milan, mars 1953 (EMI Classics, Naxos)1
  • La sonnambula, dir. Antonino Votto, Amina: Maria Callas, Teresa: Fiorenza Cossotto, Rodolfo: Nicola Zaccaria, Elvino: Nicola Monti, Lisa: Eugenia Ratti, Orchestra del Teatro alla Scala, Milan, mars 1957 (EMI Classics)
  • Georges Bizet :
  • Carmen, dir. Georges Prêtre, Carmen: Maria Callas, Don José: Nicolai Gedda, Micaëla: Andréa Guiot, Escamillo: Robert Massard, Frasquita: Nadine Sautereau, Mercédès: Jane Berbié, Orchestre de l'Opéra national de Paris, Paris, juillet 1964, Stéréo (EMI Classics)N 1
  • Luigi Cherubini :
  • Medea, dir. Tullio Serafin, Medea: Maria Callas, Glauce: Renata Scotto, Neris: Miriam Pirazzini, Giasone: Mirto Picchi, Creonte: Giuseppe Modesti, Orchestra del Teatro alla Scala, Milan, septembre 1957 (Ricordi, EMI Classics)
  • Gaetano Donizetti :
  • Lucia di Lammermoor, dir. Tullio Serafin, Lucia: Maria Callas, Edgardo: Giuseppe di Stefano, Enrico: Tito Gobbi, Raimondo: Raffaele Arié, Orchestra del Maggio Musicale Fiorentino, Florence, janvier et février 1953 (EMI Classics, Naxos)
  • Lucia di Lammermoor, dir. Tullio Serafin, Lucia: Maria Callas, Edgardo: Ferruccio Tagliavini, Enrico: Piero Cappuccilli, Raimondo: Bernard Ladysz, Orchestre Philharmonia, Kingsway Hall, Londres, mars 1959 Stéréo (EMI Classics, Naxos)
  • Ruggero Leoncavallo :
  • I pagliacci, dir. Tullio Serafin, Nedda: Maria Callas, Canio: Giuseppe di Stefano, Tonio: Tito Gobbi, Beppe: Nicola Monti, Silvio: Rolando Panerai, Orchestra del Teatro alla Scala, Milan, juin 1954 (EMI Classics, Naxos)N 1
  • Pietro Mascagni :
  • Cavalleria rusticana, dir. Tullio Serafin, Santuzza: Maria Callas, Turiddu: Giuseppe di Stefano, Alfio: Rolando Panerai, Lola: Anna Maria Canali, Mamma Lucia: Ebe Ticozzi, Orchestra del Teatro alla Scala, Milan, juin et août 1953 (EMI Classics, Naxos)
  • Amilcare Ponchielli :
  • La Gioconda, dir. Antonino Votto, La Gioconda: Maria Callas, Laura: Fedora Barbieri, La Cieca: Maria Amadini, Alvise: Giulio Neri, Enzo: Gianni Poggi, Barnaba: Paolo Silveri, Orchestra di Torino della RAI, RAI Turin, septembre 1952 (Cetra, EMI Classics, Naxos)
  • La Gioconda, dir. Antonino Votto, La Gioconda: Maria Callas, Laura: Fiorenza Cossotto, La Cieca: Irene Companeez, Alvise: Ivo Vinco, Enzo: Pier Miranda Ferraro, Barnaba: Piero Cappuccilli, Orchestra del Teatro alla Scala, Milan, septembre 1959, Stéréo (EMI Classics, Naxos)
  • Giacomo Puccini :
  • La Bohème, dir. Antonino Votto, Mimi: Maria Callas, Rodolfo: Giuseppe di Stefano, Marcello: Rolando Panerai, Musetta: Anna Moffo, Schaunard: Manuel Spatafora, Colline: Nicola Zaccaria, Orchestra el Teatro alla Scala, Milan, août et septembre 1956 (EMI Classics)N 1
  • Madame Butterfly, dir. Herbert von Karajan, Cio Cio San: Maria Callas, Suzuki: Lucia Danieli, Pinkerton: Nicolai Gedda, Sharpless: Mario Borriello, Orchestra del Teatro alla Scala, Milan, août 1955 (EMI Classics, Naxos)
  • Manon Lescaut, dir. Tullio Serafin, Manon: Maria Callas, des Grieux: Giuseppe di Stefano, Lescaut: Giulio Fioravanti, Geronte: Franco Calabrese, Orchestra del Teatro alla Scala, Milan, juillet 1957 (EMI Classics)N 1
  • Tosca, dir. Victor de Sabata, Floria Tosca: Maria Callas, Mario Cavaradossi: Giuseppe di Stefano, Scarpia: Tito Gobbi, Orchestra del Teatro alla Scala, Milan, août 1953 (EMI Classics, Naxos)
  • Tosca, dir. Georges Prêtre, Floria Tosca: Maria Callas, Mario Cavaradossi: Carlo Bergonzi, Scarpia: Tito Gobbi, Orchestre de la Société des Concerts du Conservatoire, Salle Wagram, Paris, décembre 1964 et janvier 1965, Stéréo (EMI Classics, Naxos)
  • Turandot, dir. Tullio Serafin, Turandot: Maria Callas, Calaf: Eugenio Fernandi, Liù: Elisabeth Schwarzkopf, Timur: Nicola Zaccaria, Orchestra del Teatro alla Scala, Milan, juillet 1957 (EMI Classics)
  • Gioachino Rossini :
  • Il barbiere di Siviglia, dir. Alceo Galliera, Rosina: Maria Callas, Il conte Almaviva: Luigi Alva, Figaro: Tito Gobbi, Bartolo: Fritz Ollendorff, Basilio: Nicola Zaccaria, Orchestre Philharmonia, Kingsway Hall, Londres, février 1957 (EMI Classics)
  • Il turco in Italia, dir. Gianandrea Gavazzeni, Fiorilla: Maria Callas, Selim: Nicola Rossi-Lemeni, Narciso: Nicolai Gedda, Geronio: Franco Calabrese, Zaida: Jolanda Gardino, Orchestra del Teatro alla Scala, Milan, août et septembre 1954 (EMI Classics, Naxos)
  • Giuseppe Verdi :
  • Aida, dir. Tullio Serafin, Aida: Maria Callas, Radames: Richard Tucker, Amneris: Fedora Barbieri, Amonasro: Tito Gobbi, Orchestra del Teatro alla Scala, Milan, août 1955 (EMI Classics)
  • Un ballo in maschera, dir. Antonino Votto, Amelia: Maria Callas, Riccardo: Giuseppe di Stefano, Renato: Tito Gobbi, Ulrica: Fedora Barbieri, Orchestra del Teatro alla Scala, Milan, septembre 1956 (EMI Classics et Naxos)
  • La forza del destino, dir. Tullio Serafin, Leonora: Maria Callas, Don Alvaro: Richard Tucker, Don Carlo di Vargas: Carlo Tagliabue, Padre Guardiano: Nicola Rossi-Lemeni, Preziosilla: Elena Nicolai, Fra Melitone: Renato Capecchi, Orchestra del Teatro alla Scala, Milan, août 1954 (EMI Classics)
  • Rigoletto, dir. Tullio Serafin, Gilda: Maria Callas, Rigoletto: Tito Gobbi, Il duca: Giuseppe di Stefano, Sparafucile: Nicola Zaccaria, Orchestra del Teatro alla Scala, Milan, septembre 1955 (EMI Classics)
  • La traviata, dir. Gabriele Santini, Violetta: Maria Callas, Alfredo: Francesco Albanese, Giorgio Germont: Ugo Savarese, Orchestra Sinfonica di Torino della RAI, RAI Turin, septembre 1953 (Cetra, EMI Classics, Fifty Five, Regis, Warner)
  • Il trovatore, dir. Herbert von Karajan, Leonora: Maria Callas, Manrico: Giuseppe di Stefano, Azucena: Fedora Barbieri, Il conte di Luna: Rolando Panerai, Ferrando: Nicola Zaccaria, Orchestra del Teatro alla Scala, Milan, août 1956 (EMI Classics)
Opéra (enregistrements sur le vif, extraits ou intégrales)
  • Vincenzo Bellini :
  • Norma, dir. Tullio Serafin, Norma: Maria Callas, Adalgisa: Fedora Barbieri, Théâtre Colón, Buenos Aires, 17 juin 1949, duo Norma/Adalgisa du 1er acte (Divina Records)
  • Norma, dir. Guido Picco, Norma: Maria Callas, Adalgisa: Giulietta Simionato, Pollione: Kurt Baum, Oroveso: Nicola Moscona, Palacio de Bellas Artes, Mexico, 23 mai 1950 (Golden Melodram)
  • Norma, dir. Vittorio Gui, Norma: Maria Callas, Adalgisa: Ebe Stignani, Pollione: Mirto Picchi, Oroveso: Giacomo Vaghi, Clotilde: Joan Sutherland, Covent Garden, Londres, 18 novembre 1952 (EMI Classics)
  • Norma, dir. Antonino Votto, Norma: Maria Callas, Adalgisa: Elena Nicolai, Pollione: Franco Corelli, Oroveso: Boris Christoff, Teatro Verdi, Trieste, 19 novembre 1953, (Divina Records)
  • Norma, dir. Tullio Serafin, Norma: Maria Callas, Adalgisa: Ebe Stignani, Pollione: Mario del Monaco, Oroveso: Giuseppe Modesti, Rome (RAI) 29 juin 1955 (Melodram)
  • Norma, dir. Antonino Votto, Norma: Maria Callas, Adalgisa: Giulietta Simionato, Pollione: Mario del Monaco, Oroveso: Nicola Zaccaria, Teatro alla Scala, Milan, 7 décembre 1955 (Melodram, Divina Records)
  • Norma, dir. Gabriele Santini, Norma: Maria Callas, Adalgisa: Miriam Pirazzini, Pollione: Franco Corelli, Oroveso: Giulio Neri, Teatro dell'Opera di Roma, Rome, 2 janvier 1958 (1er acte)
  • Norma, dir. Georges Prêtre, Norma: Maria Callas, Adalgisa: Giulietta Simionato (les 14 et 17 mai)- Fiorenza Cossotto (les 21 et 29 mai), Pollione: Gianfranco Cecchele, Oroveso: Ivo Vinco, Opéra Garnier, Paris, 14, 17, 21, 29 mai 1965, plusieurs extraits des quatre soirées
  • Il pirata, dir. Nicola Rescigno, Imogene: Maria Callas, Gualtiero: Pier Miranda Ferraro, Ernesto: Constantino Ego, Carnegie Hall, New York, 27 janvier 1959 (EMI Classics)
  • I puritani, dir. Guido Picco, Elvira: Maria Callas, Arturo: Giuseppe di Stefano, Riccardo: Piero Campolonghi, Giorgio: Roberto Silva, Mexico (PBA) 29 mai 1952 (Idis, Archipel, Golden Melodram)
  • La sonnambula, dir. Leonard Bernstein, Amina: Maria Callas, Elvino: Cesare Valletti, Rodolfo: Giuseppe Modesti, Milano (Scala) 5 mars 1955 (EMI Classics)
  • La sonnambula, dir. Antonino Votto, Amina: Maria Callas, Elvino: Nicola Monti, Rodolfo: Nicola Zaccaria, Teresa: Fiorenza Cossotto, Grosses Haus, Cologne, 4 juillet 1957 (EMI Classics)
  • La sonnambula, dir. Antonino Votto, Amina: Maria Callas, Elvino: Nicola Monti, Rodolfo: Nicola Zaccaria, Teresa: Fiorenza Cossotto, Grosses Haus, Cologne, 6 juillet 1957 (3 disques Foyer), (extraits cd Eklipse)
  • La sonnambula, dir. Antonino Votto, Amina: Maria Callas, Elvino: Nicola Monti, Rodolfo: Nicola Zaccaria, Teresa: Fiorenza Cossotto, King's Theatre, Édimbourg, 21 août 1957 (Melodram, Testament)
  • La sonnambula, dir. Antonino Votto, Amina: Maria Callas, Elvino: Nicola Monti, Rodolfo: Nicola Zaccaria, Teresa: Fiorenza Cossotto, Edinburgh (King's Theatre) 26 août 1957 (Divina Records)
  • Luigi Cherubini :
  • Medea, dir. Vittorio Gui, Medea: Maria Callas, Neris: Fedora Barbieri, Giasone: Carlos Guichandut, Creonte: Mario Petri, Glauce: Gabriella Tucci, Teatro Comunale di Firenze, Florence, 7 mai 1953 (Golden Melodram)
  • Medea, dir. Leonard Bernstein, Medea: Maria Callas, Neris: Fedora Barbieri, Giasone: Gino Penno, Creonte: Giuseppe Modesti, Glauce: Maria Luisa Nache, Milano (Scala) 10 décembre 1953 (EMI Classics, Golden Melodram, Idis)
  • Medea, dir. Nicola Rescigno, Medea: Maria Callas, Neris: Teresa Berganza, Giasone: Jon Vickers, Creonte: Nicola Zaccaria, Glauce: Elizabeth Carron, Opéra de Dallas, 6 novembre 1958 (Melodram)
  • Medea, dir. Nicola Rescigno, Medea: Maria Callas, Neris: Fiorenza Cossotto, Giasone: Jon Vickers, Creonte: Nicola Zaccaria, Glauce: Joan Carlyle, London (Covent Garden) 30 juin 1959 (Melodram)
  • Medea, dir. Thomas Schippers, Medea: Maria Callas, Neris: Giulietta Simionato, Giasone: Jon Vickers, Creonte: Nicolai Ghiaurov, Glauce: Ivana Tosini, Milano (Scala) 11 décembre 1961 (Opera d'Oro)
  • Gaetano Donizetti :
  • Anna Bolena, dir. Gianandrea Gavazzeni, Anna: Maria Callas, Giovanna Seymour: Giulietta Simionato, Percy: Gianni Raimondi, Enrico: Nicola Rossi-Lemeni, Milano (Scala) 14 avril 1957 (EMI Classics, Divina Records)
  • Lucia di Lammermoor, dir. Guido Picco, Lucia: Maria Callas, Edgardo: Giuseppe di Stefano, Enrico: Piero Campolonghi, Mexico (PBA) 10 juin 1952 (Archipel)
  • Lucia di Lammermoor, dir. Guido Picco, Lucia: Maria Callas, Edgardo: Giuseppe di Stefano, Enrico: Piero Campolonghi, Mexico (PBA) 14 juin 1952 (extraits Eklipse, Memories)
  • Lucia di Lammermoor, dir. Herbert von Karajan, Lucia: Maria Callas, Edgardo: Giuseppe di Stefano, Enrico: Rolando Panerai, Milano (Scala) 18 janvier 1954 (SRO, Idis, Cantus records)
  • Lucia di Lammermoor, dir. Herbert von Karajan, Lucia: Maria Callas, Edgardo: Giuseppe di Stefano, Enrico: Rolando Panerai, Deutsche Oper Berlin, Berlin, 29 septembre 1955 (EMI Classics, Idis, Divina Records)
  • Lucia di Lammermoor, dir. Francesco Molinari Pradelli, Lucia: Maria Callas, Edgardo: Gianni Raimondi, Enrico: Rolando Panerai, Teatro San Carlo, Naples, 22 mars 1956 (Myto)
  • Lucia di Lammermoor, dir. Fausto Cleva, Lucia: Maria Callas, Edgardo: Giuseppe Campora, Enrico: Enzo Sordello, Metropolitan Opera, New York, 8 décembre 1956 (Melodram)
  • Lucia di Lammermoor, dir. Tullio Serafin, Lucia: Maria Callas, Edgardo: Eugenio Fernandi, Enrico: Rolando Panerai, Roma (RAI) 26 juin 1957 (Melodram)
  • Poliuto, dir. Antonino Votto, Paolina: Maria Callas, Poliuto: Franco Corelli, Severo: Ettore Bastianini, Milano (Scala) 7 décembre 1960 (EMI Classics)
  • Umberto Giordano :
  • Andrea Chénier, dir. Antonino Votto, Maddalena: Maria Callas, Andrea Chénier: Mario del Monaco, Carlo Gérard: Aldo Protti, Milano (Scala) 8 janvier 1955 (EMI Classics)
  • Christoph Willibald Gluck :
  • Alceste (version italienne), dir. Carlo Maria Giulini, Alceste: Maria Callas, Admeto: Renato Gavarini, Gran sacerdote: Paolo Silveri, Apollo: Rolando Panerai, Milano (Scala) 4 avril 1954 (Golden Melodram, Idis)
  • Iphigénie en Tauride (version italienne), Ifigenia: Maria Callas, Pilade: Francesco Albanese, Oreste: Dino Dondi, Artemide: Fiorenza Cossotto, dir. Nino Sanzogno, Milano (Scala) 1er juin 1957 (EMI Classics)
  • Giacomo Puccini :
  • Tosca, dir. Umberto Mugnai, Floria Tosca: Maria Callas, Mario Cavaradossi: Mario Filippeschi, Scarpia: Robert Weede, Mexico (PBA) 8 juin 1950 (Melodram, Fono Entreprise)
  • Tosca, dir. Antonino Votto, Floria: Maria Callas, Mario: Gianni Poggi, Scarpia: Paolo Silveri, (Teatro Municipal), Rio de Janeiro, 24 septembre 1951 (Melodram, Archipel)
  • Tosca, dir. Guido Picco, Floria: Maria Callas, Mario: Giuseppe di Stefano, Scarpia: Piero Campolonghi, Mexico (PBA) 1er juillet 1952 (Melodram, Archipel)
  • Tosca, dir. Dimitri Mitropoulos, Floria: Maria Callas, Scarpia: George London, New York (Ed Sullivan Show) 25 novembre 1956, extraits de l'acte II (Melodram)
  • Tosca, dir. Georges Sebastian, Floria: Maria Callas, Mario: Albert Lance, Scarpia: Tito Gobbi, Paris (Opéra Garnier) 19 décembre 1958, Acte II (INA)
  • Tosca, dir. Carlo Felice Cillario, Floria: Maria Callas, Mario: Renato Cioni, Scarpia: Tito Gobbi, London (Covent Garden) 24 janvier 1964 (Emi Classics, Golden Melodram)
  • Tosca, dir. Nicola Rescigno, Floria: Maria Callas, Mario: Renato Cioni, Scarpia: Tito Gobbi, Paris (Opéra Garnier) 3 mars 1965 (Melodram)
  • Tosca, dir. Fausto Cleva, Floria: Maria Callas, Mario: Franco Corelli, Scarpia: Tito Gobbi, New York (Met) 19 mars 1965 (Melodram, Living Stage)
  • Tosca, dir. Fausto Cleva, Floria: Maria Callas, Mario: Richard Tucker, Scarpia: Tito Gobbi, New York (Met) 25 mars 1965 (Melodram, Living Stage)
  • Tosca, dir. Georges Prêtre, Floria: Maria Callas, Mario: Renato Cioni, Scarpia: Tito Gobbi, London (Covent Garden) 5 juillet 1965 (Divina Records)
  • Turandot, dir. Tullio Serafin, Turandot: Maria Callas, Calaf: Mario del Monaco, Buenos Aires (Teatro Colón) 20 mai 1949, extraits de l'acte III (Divina Records, Eklipse)
  • Gioachino Rossini :
  • Armida, dir. Tullio Serafin, Armida: Maria Callas, Rinaldo: Francesco Albanese, Goffredo: Alessandro Ziliani, Eustazio: Antonio Salvarezza, Gernando: Mario Filippeschi, Carlo: Gianni Raimondi, Firenze (Teatro Comunale) 26 avril 1952 (Melodram, Idis, Divina Records)
  • Il Barbiere di Siviglia, Rosina: Maria Callas, Almaviva: Luigi Alva, Figaro: Tito Gobbi, Don Basilio: Nicola Rossi-Lemeni, Bartolo: Melchiorre Luise, dir. Carlo Maria Giulini, Milano (Scala) 16 février 1956 (Melodram, Idis)
  • Il turco in Italia, dir. Gianandrea Gavazzeni, Fiorilla: Maria Callas, Roma (Opera) 19 octobre 1950, air de Fiorilla (Tima club, You Tube)
  • Gaspare Spontini :
  • La Vestale, dir. Antonino Votto, Giulia: Maria Callas, Licinio: Franco Corelli, Gran vestale: Ebe Stignani, Cinna: Enzo Sordello, Sommo sacerdote: Nicola Rossi-Lemeni, Milano (Scala) 7 décembre 1954 (Andromeda, Golden Melodram, Idis)
  • Giuseppe Verdi :
  • Aida, dir. Guido Picco, Aida: Maria Callas, Radames: Kurt Baum, Amneris: Giulietta Simionato, Amonasro: Robert Weede, Mexico (PBA) 30 mai 1950 (Melodram, Idis)
  • Aida, dir. Guido Picco, Aida: Maria Callas, Radames: Kurt Baum, Amneris: Giulietta Simionato, Amonasro: Robert Weede, Mexico (PBA) 3 juin 1950, extraits (Archipel)
  • Aida, dir. Vincenzo Bellezza, Aida: Maria Callas, Radames: Mirto Picchi, Amneris: Ebe Stignani, Amonasro: Rafaele de Falchi, Roma (Opera) 2 octobre 1950, extraits de l'Acte III (Melodram)
  • Aida, dir. Oliviero de Fabritiis, Aida: Maria Callas, Radames: Mario del Monaco, Amneris: Oralia Dominguez, Amonasro: Giuseppe Taddei, Mexico (PBA) 2 juillet 1951 (Melodram, EMI Classics, Archipel)
  • Aida, dir. John Barbirolli, Aida: Maria Callas, Radames: Kurt Baum, Amneris: Giulietta Simionato, Amonasro: Jess Walters, Sacerdotessa: Joan Sutherland, London (Covent Garden) 10 juin 1953 (Golden Melodram, Testament)
  • Un ballo in maschera, dir. Gianandrea Gavazzeni, Amelia: Maria Callas, Riccardo: Giuseppe di Stefano, Renato: Ettore Bastianini, Ulrica: Giulietta Simionato, Milano (Scala) 7 décembre 1957 (Golden Melodram)
  • Macbeth, dir. Victor de Sabata, Lady Macbeth: Maria Callas, Macbeth: Enzo Mascherini, Banquo: Italo Tajo, Macduff: Gino Penno, Milano (Scala) 7 décembre 1952 (EMI Classics, Myto)
  • Nabucco, dir. Vittorio Gui, Abigaille: Maria Callas, Nabucco: Gino Bechi, Zaccaria: Luciano Neroni, Ismaele: Gino Sinimberghi, Fenena: Amalia Pini, Napoli (San Carlo) 20 décembre 1949 (Archipel, Golden Melodram)
  • Rigoletto, dir. Umberto Mugnai, Gilda: Maria Callas, Duca: Giuseppe di Stefano, Rigoletto: Piero Campolonghi, Mexico (PBA) 17 juin 1952 (Melodram, Urania)
  • La traviata, dir. Oliviero de Fabritiis, Violetta: Maria Callas, Alfredo: Cesare Valletti, Germont: Giuseppe Taddei, Mexico (PBA) 17 juillet 1951 (Cetra, EMI Classics, Fifty Five, Regis, Warner)
  • La traviata, dir. Umberto Mugnai, Violetta: Maria Callas, Alfredo: Giuseppe di Stefano, Germont: Piero Campolonghi, Mexico (PBA) 3 juin 1952 (Melodram)
  • La traviata, dir. Carlo Maria Giulini, Violetta: Maria Callas, Alfredo: Giuseppe di Stefano, Germont: Ettore Bastianini, Milano (Scala) 28 mai 1955 (EMI Classics)
  • La traviata, dir. Carlo Maria Giulini, Violetta: Maria Callas, Alfredo: Gianni Raimondi, Germont: Ettore Bastianini, Milano (Scala) 19 janvier 1956 (Myto)
  • La traviata, dir. Franco Ghione, Violetta: Maria Callas, Alfredo: Alfredo Kraus, Germont: Mario Sereni, Teatro Nacional de Sao Carlos, Lisbonne 27 mars 1958 (EMI Classics)
  • La traviata, dir. Nicola Rescigno, Violetta: Maria Callas, Alfredo: Cesare Valletti, Germont :Mario Zanasi, London (Covent Garden) 20 juin 1958 (Melodram)
  • Il trovatore, dir. Guido Picco, Leonora: Maria Callas, Manrico: Kurt Baum, Azucena: Giulietta Simionato, Luna: Leonard Warren, Mexico (PBA) 20 juin 1950 (Melodram, Archipel)
  • Il trovatore, dir. Guido Picco, Leonora: Maria Callas, Manrico: Kurt Baum, Azucena: Giulietta Simionato, Luna: Ivan Petroff, Mexico (PBA) 27 juin 1950, extraits (Eklipse, Archipel)
  • Il trovatore, dir. Tullio Serafin, Leonora: Maria Callas, Manrico: Giacomo Lauri-Volpi, Azucena: Cloe Elmo, Luna: Paolo Silveri, Napoli (San Carlo) 27 juin 1951 (Idis, Melodram)
  • Il trovatore, dir. Antonino Votto, Leonora: Maria Callas, Manrico: Gino Penno, Azucena: Ebe Stignani, Luna: Carlo Tagliabue, Milano (Scala) 23 février 1953 (Myto,Idis)
  • I vespri siciliani, dir. Erich Kleiber, Elena: Maria Callas, Arrigo: Giorgio Kokolios, Monforte: Enzo Mascherini, Procida: Boris Christoff, Firenze (Teatro Comunale) 26 mai 1951 (Archipel, Testament)
  • Richard Wagner :
  • Parsifal, dir. Vittorio Gui, Kundry: Maria Callas, Parsifal: Africo Baldelli, Gurnemanz: Boris Christoff, Amfortas: Rolando Panerai, Klingsor: Giuseppe Modesti, Ancella: Lina Pagliughi, Roma (RAI) 20 et 21 novembre 1950 (Melodram)
Récitals et anthologies (enregistrements de studio)
  • Wagner (Tristan) et Bellini (I puritani et Norma), dir. Arturo Basile, Orchestra Sinfonica di Torino della RAI, RAI Torino, novembre 1949 (Cetra, EMI Classics)
  • Les héroïnes de Puccini (Manon Lescaut, Madama Butterfly, La Bohème, Suor Angelica, Gianni Schicchi, Turandot), dir. Tullio Serafin, Philharmonia Orchestra, London Town Hall septembre 1954 (EMI Classics)
  • Les airs lyriques et colorature(s) (Adriana Lecouvreur, Andrea Chénier, La Wally, Mefistofele, Il barbiere di Siviglia, Dinorah, Lakmé, I vespri siciliani), dir. Tullio Serafin, Philharmonia Orchestra, London Town Hall septembre 1954 (EMI Classics)
  • Callas à la Scala, airs de Cherubini (Medea), Spontini (La vestale) et Bellini (La sonnambula), dir. Tullio Serafin, Orchestra del Teatro alla Scala Milano, Teatro alla Scala Milano, septembre 1955 (EMI Classics)
  • Les héroïnes de Verdi (Macbeth, Nabucco, Ernani, Don Carlo), dir. Nicola Rescigno, Philharmonia Orchestra, London Studio 1 Abbey Road, septembre 1958 (EMI Classics)
  • Les scènes de folie (Hamlet, Anna Bolena, Il pirata), dir. Nicola Rescigno, Philharmonia Orchestra, London Studio 1 Abbey Road, septembre 1958 (EMI Classics)
  • Callas à Paris (Orphée et Eurydice, Alceste, Carmen, Samson et Dalila, Roméo et Juliette, Mignon, Le Cid, Louise), dir. Georges Prêtre, Orchestre national de la Radiodiffusion Française, Salle Wagram Paris, mars et avril 1961 (EMI Classics)
  • Callas à Paris II (Iphigénie en Tauride, La damnation de Faust, Les pêcheurs de perles, Manon, Werther, Faust), dir. Georges Prêtre, Orchestre de la Société des Concerts du Conservatoire, Salle Wagram Paris, mai 1963 (EMI Classics)
  • Mozart, van Beethoven et Weber (Scena ed aria: Ah, perfido, Oberon, Le nozze di Figaro, Don Giovanni), dir. Nicola Rescigno, Orchestre de la Société des Concerts du Conservatoire, Salle Wagram Paris, décembre 1963 et janvier 1964 (EMI Classics)
  • Airs de Verdi II (Otello, Aroldo, Don Carlo), dir. Nicola Rescigno, Orchestre de la Société des Concerts du Conservatoire, Salle Wagram Paris, décembre 1963 et février 1964 (EMI Classics)
  • Airs de Rossini et Donizetti (La Cenerentola, Guglielmo Tell, Semiramide, La figlia del reggimento, Lucrezia Borgia, L'elisir d'amore), dir. Nicola Rescigno, Orchestre de la Société des Concerts du Conservatoire, Salle Wagram Paris, décembre 1963 et avril 1964 (EMI Classics)
  • Airs de Verdi III (I Lombardi, Attila, Il corsaro, Il trovatore, I vespri siciliani, Un ballo in maschera, Aida), dir. Nicola Rescigno, Orchestre de la Société des Concerts du Conservatoire, janvier, février et avril 1964, janvier et avril 1965, février et mars 1969 (EMI Classics)
  • The EMI rarities 1953-1961 (Don Giovanni, Macbeth, Semiramide, I vespri siciliani, Lurezia Borgia, Guglielmo Tell, Il pirata), dir. Tullio Serafin, Nicola Rescigno, Antonio Tonini, Orchestra del Maggio Musicale Fiorentino (Don Giovanni) et Orchestre Philharmonia, janvier 1953, septembre 1958, (?)1960 et novembre 1961 (EMI Classics)
  • The EMI rarities 1962-1969 (Don Carlo, La Cenerentola, Oberon, Aida, I Lombardi, Il trovatore, I vespri siciliani, Attila), dir. Antonio Tonini, Georges Prêtre, Nicola Rescigno, Orchestre Philharmonia, Orchestre du Théâtre national de l'Opéra de Paris, Orchestre de la Société des Concerts du Conservatoire, avril 1962, avril et juin 1964, janvier 1965, février et mars 1969 (EMI Classics)
Récitals et compilations
  • Maria Callas : La Grande Nuit de l’Opéra, 19 décembre 1958, Opéra Garnier 2 cd, (INA Mémoire vive)
  • En septembre 2007, pour le 30e anniversaire de sa disparition, EMI a publié une intégrale en 70 CD des enregistrements studio (1949-1969), comprenant un CD bonus avec photos et livrets des opéras ainsi qu'un DVD comprenant des interviews de Maria Callas et des extraits filmés de représentations auxquelles elle avait participé.
  • The Callas effect, 2 cd et 1 dvd, (EMI Classics), 2011
Récitals (enregistrements sur le vif)
  • Concert du 9 juillet 1949, Gala du 133e anniversaire de l'indépendance de l'Argentine, Théâtre Colón de Buenos Aires (Norma)
  • Orchestre du Colon de Buenos Aires, dir: Tullio Serafin, (Divina Records)
  • Concert du 12 mars 1951, RAI di Torino (Un ballo in maschera, Mignon, Variations de Proch)
  • Orchestra di Torino della RAI, dir: Ermanno Wolf-Ferrari, (Maria Callas Édition, Divina Records)
  • Concert du 18 février 1952, RAI di Torino (Macbeth, Lucia di Lammermoor, Nabucco, Lakmé)
  • Orchesta di Torino della RAI, dir: Oliviero de Fabritiis, (EMI Classics)
  • Concert du 27 décembre 1954, Teatro del Casino, San Remo (Il ratto dal serraglio, Dinorah, Louise, Armida)
  • Orchestra di Milano della RAI, dir: Alfredo Simonetto, (EMI Classics)
  • Concert du 27 septembre 1956, RAI di Milano (La vestale, Semiramide, Hamlet, I puritani)
  • Orchestra di Milano della RAI, dir: Alfredo Simonetto, (EMI Classics)
  • Concert du 5 août 1957, Théâtre Antique Hérode Atticus, Athènes (Il trovatore, La forza del destino, Tristan und Isolde, Lucia di Lammermoor, Hamlet)
  • Orchestre du Festival d'Athènes, dir: Antonino Votto, (EMI Classics)
  • Répétition du 20 novembre 1957, State Fair Music Hall, Dallas (Die Entführung aus dem Serail, I puritani, Macbeth, La traviata, Anna Bolena)
  • Dallas Symphony, dir: Nicola Rescigno, (EMI Classics)
  • Emission télévisée en Eurovision du 31 décembre 1957, Studio de la RAI, Roma (Norma)
  • Orchestra di Roma della RAI, dir: Gabriele Santini, (EMI Classics, Divina Records)
  • Concert du 17 juin 1958, Chelsea Empire Theatre, London (Tosca, Il barbiere di Siviglia)
  • dir: John Pritchard, (EMI Classics)
  • Concert du 23 septembre 1958, Chelsea Empire Theatre, London (Norma, Madama Butterfly)
  • dir: John Pritchard, (EMI Classics)
  • Concert du 29 novembre 1958, Shrine Auditorium, Los Angeles (La vestale, Macbeth, Il barbiere di Siviglia, Mefistofele, La Bohème, Hamlet)
  • dir: Nicola Rescigno, (Vai)
  • Concert du 19 décembre, Gala de la Légion d'Honneur, La grande nuit de l'Opéra, Opéra de Paris (Norma, Il trovatore, Il barbiere di Siviglia, Tosca - Acte II)
  • Orchestre du Théâtre national de l'Opéra de Paris, dir: Georges Sebastian, (EMI Classics, INA Mémoire vive)
  • Concert du 15 mai 1959, Muzikhalle, Hamburg (La vestale, Macbeth, Il barbiere di Siviglia, Don Carlo, Il pirata)
  • Sinfonieorchester des Norddeutschen Rundfunks, dir: Nicola Rescigno, (EMI Classics)
  • Concert du 19 mai 1959, Liederhalle, Stuttgart (La vestale, Macbeth, Il barbiere di Siviglia, Don Carlo, Il pirata)
  • Sinfonieorchester des Suddeutschen Rundfunks, dir: Nicola Rescigno, (EMI Classics)
  • Concert du 11 juillet 1959, Concertgebouw, Amsterdam (La vestale, Ernani, Don Carlo, Il pirata)
  • Orkest van het Concertgebouw Amsterdam, dir: Nicola Rescigno, (EMI Classics)
  • Concert du 23 septembre 1959, Royal Festival Hall, London (Macbeth, Il pPirata)
  • Orchestre Philharmonia, dir: Nicola Rescigno, (EMI Classics)
  • Concert du 3 octobre 1959, Wood Green Empire, London (La Bohème, Mefistofele)
  • Royal Philharmonic Orhestra, dir: Malcolm Sargent, (EMI Classics)
  • Concert du 30 mai 1961, St James's Palace, London (Le Cid, Don Carlo, Mefistofele)
  • Piano: Malcolm Sargent, (EMI Classics)
  • Concert du 27 février 1962, Royal Festival Hall, London (Oberon, Le Cid, La Cenerentola, Macbeth, Anna Bolena)
  • Orchestre Philharmonia, dir: Georges Prêtre, (EMI Classics)
  • Concert du 16 mars 1962, Muzikhalle, Hamburg (Le Cid, Carmen, Ernani, La Cenerentola, Don Carlo)
  • Sinfonieorchester des Norddeutschen Rundfunks, dir: Georges Prêtre, (EMI Classics)
  • Participation à la cérémonie d'anniversaire du Président Kennedy, 19 mai 1962, Madison Square Garden, New York (Carmen)
  • Piano: Charles Wilson (Divina Records)
  • Concert du 4 novembre 1962, Covent Garden, London (Don Carlo, Carmen)
  • Orchestra of the Royal Opera House, dir: Georges Prêtre, (EMI Classics)
  • Concert du 17 mai 1963, Deutsche Oper, Berlin (Semiramide, Nabucco, La Bohème, Madama Butterfly)
  • Orchester der Deutschen Oper Berlin, dir: Georges Prêtre, (Eklipse, Maria Callas Édition)
  • Concert du 23 mai 1963, Liederhalle, Stuttgart (Semiramide, Norma, Nabucco, La Bohème, Madama Butterfly)
  • Sinfonieorchester des Suddeutschen Rundfunks, dir: Georges Prêtre, (Eklipse, Maria Callas Édition)
  • Concert du 31 mai 1963, Royal Festival Hall, London (Semiramide, Norma, Nabucco, La Bohème, Madama Butterfly)
  • Orchestre Philharmonia, dir: Georges Prêtre, (Maria Callas Édition, Divina Records)
  • Concert du 5 juin 1963, Théâtre des Champs Elysées, Paris (Semiramide, La Cenerentola, Manon, Werther, Nabucco, La Bohème, Madama Butterfly, Gianni Schicchi)
  • Orchestre national de la RTF, dir: Georges Prêtre, (EMI Classics, Maria Callas Édition)
  • Concert du 9 juin 1963, Falkoner Centret, Copenhagen (Norma, Nabucco, La Bohème, Madama Butterfly)
  • Danmarks Radiosymfoni Orkester, dir: Georges Prêtre, (Eklipse, Maria Callas Édition)
  • Concert télévisé du 18 mai 1965, Studios de la RTF, Paris (Manon, La sonnambula, Gianni Schicchi)
  • Orchestre national de la RTF, dir: Georges Prêtre, (EMI Classics, Maria Callas Édition)

Entretiens

  • Trois jours avec Maria Callas, entretiens avec Micheline Banzet-Lawton au domicile parisien de Maria Callas le 5 février 1965 (en français - INA).
  • Callas, la divina, entretiens avec Edward Downes diffusés aux États-Unis le 30 décembre 1967 et le 13 janvier 1968 (en anglais - EMI Classics).
  • Hommages à Maria Callas, entretien avec Jacques Bourgeois au domicile parisien de Maria Callas le 30 juin 1968, entretien avec Micheline Banzet-Lawton au domicile parisien de Maria Callas le 5 février 1963, nombreux témoignages recueillis par Alain Lanceron (en français, sauf Giulietta Simionato et Jon Vickers - EMI Classics).
  • Collector's corner, entretiens avec John Ardoin à Dallas le 13 septembre 1968 (en anglais - Eklipse).
  • David Frost Show, entretien télévisé avec David Frost à New York le 10 décembre 1970 (en anglais - Verona).
  • Callas, entretien avec Philippe Caloni au domicile parisien de Maria Callas en avril 1976 (en français - EMI Classics).
  • Callas in her own words, écrit par John Ardoin, coffret de 3 cd parsemés d'entretiens avec Maria Callas (en anglais - Eklipse).

DVD

  • Il n'existe pas d'opéras entiers chantés par Maria Callas sur DVD. Les productions où l'on peut l'entendre sont des reportages émaillés des grands airs du répertoire qu'elle a chantés. La seule œuvre complète sur ce type de support est le film Médée qu'elle a tourné, en 1969, avec Pier Paolo Pasolini.
Articles Sources

Publié dans Chanteurs-Chanteuses

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