Balyasnikov Alexeï Ivanovitch
Alexeï Ivanovitch Balyasnikov fut un pilote de chasse et As soviétique de la Seconde Guerre mondiale, titulaire de l'Ordre de Héros de l'Union soviétique. Né le 4 février 1920 à Novikovo, dans la
région de Tambov, il rejoignit l' Armée rouge en 1938 et fut breveté pilote au collège militaire de l'Air de Borisoglebsk au début de 1941.
En juin 1941, il servait comme leitenant (sous-lieutenant) dans un IAP ( régiment de chasse aérienne) du district militaire de Kiev. Peu après avoir obtenu sa 1e victoire aérienne, le 3 juillet 1941, il fut à son tour abattu en territoire ennemi et mit 36 jours pour revenir à son unité. En 1942 il prit part à la bataille de Stalingrad, où il abattit 1 FW-189 en décembre et l'année suivante, 1943, aux combats aériens du nord-Caucase et du Kouban.
En novembre 1943, après avoir abattu 1 Bf-109, il fut lui-même descendu; mais découvert par une patrouille soviétique, il put être sauvé et admis dans un hôpital. Il retourna au front au début 1944 et en mars 1945, devenu entre-temps Kapitan (capitaine), il commandait une escadrille du 18.GuIAP (régiment de la Garde).
Démobilisé en décembre 1945, il devait décéder le 4 mars 1986. Crédité de 23 victoires homologuées, dont 18 individuelles et 5 en coopération, plus 8 ballons d'observation abattus, au cours de 620 missions, dont 200 de reconnaissance aérienne.
En juin 1941, il servait comme leitenant (sous-lieutenant) dans un IAP ( régiment de chasse aérienne) du district militaire de Kiev. Peu après avoir obtenu sa 1e victoire aérienne, le 3 juillet 1941, il fut à son tour abattu en territoire ennemi et mit 36 jours pour revenir à son unité. En 1942 il prit part à la bataille de Stalingrad, où il abattit 1 FW-189 en décembre et l'année suivante, 1943, aux combats aériens du nord-Caucase et du Kouban.
En novembre 1943, après avoir abattu 1 Bf-109, il fut lui-même descendu; mais découvert par une patrouille soviétique, il put être sauvé et admis dans un hôpital. Il retourna au front au début 1944 et en mars 1945, devenu entre-temps Kapitan (capitaine), il commandait une escadrille du 18.GuIAP (régiment de la Garde).
Démobilisé en décembre 1945, il devait décéder le 4 mars 1986. Crédité de 23 victoires homologuées, dont 18 individuelles et 5 en coopération, plus 8 ballons d'observation abattus, au cours de 620 missions, dont 200 de reconnaissance aérienne.