Gréco Juliette
Juliette Gréco, née le 7 février 1927 à Montpellier (Hérault) et morte le 23 septembre 2020 à Ramatuelle (Var), est une chanteuse et actrice française. Figure emblématique de la chanson française à textes avec une carrière s’étalant sur sept décennies, elle est notamment célèbre pour avoir été l'interprète d'auteurs tels que Raymond Queneau, Jacques Prévert, Léo Ferré, Boris Vian et Serge Gainsbourg.
Fille de déportée
Juliette Gréco est née d'un père d'origine corse, le commissaire de la police des jeux Gérard Gréco, et d'une mère bordelaise, Juliette Lafeychine (1899-1978). Ses parents étant séparés, elle est élevée avec sa sœur aînée Charlotte à Bordeaux par ses grands-parents maternels. Leur mère les rejoint en 1933 et les emmène toutes les deux à Paris. Passionnée de danse, Juliette, en 1939, est petit rat à l'Opéra Garnier. La guerre ayant éclaté, la famille retourne dans le sud-ouest de la France, en Dordogne. Les filles sont scolarisées à Montauban chez les « Dames noires », l'Institut Royal d'éducation Sainte Jeanne d'Arc. C'est là que leur mère participe à une filière d'évasion vers l'Espagne et Gibraltar via Bordeaux. Elle est arrêtée en 1943. Les deux sœurs s'enfuient par le premier train pour Paris mais sont suivies par un des agents de la Gestapo de Périgueux.
Elles sont brutalement capturées cinq jours plus tard devant le café Pampam, place de la Madeleine, et emmenées au siège de la Gestapo, 80, avenue Foch, où Charlotte est torturée, Juliette violemment battue, mais auparavant elle avait réussi, en se rendant aux toilettes, à jeter les documents compromettants que sa sœur, agent de liaison, transportait pour la Résistance. Elles sont emprisonnées à la maison d'arrêt de Fresnes. La mère et la sœur aînée sont déportées à Ravensbrück, où elles se retrouvent dans le même block que Denise Jacob, rejointes en février 1944 par Geneviève de Gaulle-Anthonioz. Elles en reviendront, après la libération du camp par l'Armée rouge, le 30 avril 1945.
En raison de son jeune âge, Juliette est libérée. Après avoir récupéré ses affaires au siège de la Gestapo française dans le 16e arrondissement de Paris, elle se retrouve seule et sans ressources « sur l'avenue la plus belle du monde, l'avenue Foch » avec un ticket de métro en poche. Elle se rend alors chez la seule personne de sa connaissance résidant dans la capitale, Hélène Duc, qui a été, avant la guerre, son professeur de français. Elle sait que cette amie de sa mère habite près de l'église Saint-Sulpice, 20, rue Servandoni. L'adolescente y est logée et prise en charge. Elle s'habille des vêtements des garçons de la maison, les seuls disponibles, et d'une paire de chaussures donnée par une amie d'Hélène Duc, Alice Sapritch. Elle invente là le style Saint Germain.
Saint-Germain-des-Prés
Le quartier Saint-Germain-des-Prés est à deux pas de là et, en 1945, Juliette découvre le bouillonnement intellectuel de la rive gauche et la vie politique à travers les Jeunesses communistes. Hélène Duc l'envoie suivre les cours d'art dramatique dispensés par Solange Sicard. Juliette décroche quelques rôles au théâtre (Victor ou les Enfants au pouvoir6 en novembre 1946) et travaille dans une émission de radio consacrée à la poésie. Juliette noue des relations amicales avec de jeunes artistes (elle vit un temps avec le peintre Bernard Quentin au 7, rue Servandoni) et intellectuels du quartier de Saint-Germain-des-Prés, dont Anne-Marie Cazalis et Boris Vian. Jean-Paul Sartre lui permet de s'installer à l'hôtel La Louisiane où il réside : elle vit dans la chambre 10, la seule qui ait une baignoire avec de l'eau chaude.
Elle y vit une romance avec un autre locataire, celui de la chambre 76, le musicien Miles Davis. Dans l'un des établissements de la rue Dauphine, Le Tabou, elle découvre par hasard, grâce à son manteau qu'elle avait posé sur la rampe et qui était tombé en bas d'un escalier, que celui-ci dispose d'une grande cave voûtée inutilisée que le patron appelle « le tunnel ». Juliette et ses amis trouvent l'endroit idéal pour y faire de la musique et danser tout en discutant de philosophie. Il suffit d'une semaine pour que les curieux viennent en nombre pour observer cette nouvelle et bizarre faune baptisée existentialistes. Juliette, devenue la célèbre muse de Saint-Germain-des-Prés sans avoir rien accompli de probant, décide alors de justifier sa célébrité en optant pour la chanson.
Jean-Paul Sartre lui confie une sorte de mélopée qu'il a écrite pour sa pièce de théâtre Huis clos et lui conseille d'aller voir le compositeur Joseph Kosma pour que celui-ci en réécrive la musique qu'il ne trouvait pas réussie. C'est ainsi que Juliette interprète la chanson Rue des Blancs-Manteaux, œuvre née de la plume du chantre de l'existentialisme et d'un compositeur rompu à l'art de mise en musique de la poésie (notamment celle de Jacques Prévert). Selon l'écrivain espagnol Manuel Vicent, Juliette Gréco fut l'une des amantes d'Albert Camus. Au début des années 1960, elle a également une relation avec le producteur américain Darryl F. Zanuck, juste après avoir rompu avec Sacha Distel.
Débuts
En 1949, disposant d'un riche répertoire (de Jean-Paul Sartre à Boris Vian...), Juliette Gréco participe à la réouverture du cabaret Le Bœuf sur le toit. Elle rencontre cette année-là Miles Davis, dont elle tombe amoureuse. Il hésite à l'épouser, ce qui est impensable aux États-Unis (à l'époque, les unions entre Noirs et Blancs sont illégales dans de nombreux États américains). Lui ne voulant pas lui imposer une vie aux États-Unis en tant qu'épouse d'un Noir américain, et elle ne voulant pas abandonner sa carrière en France, ils renoncent et Miles rentre à New York à la fin mai. En 1951, elle reçoit le prix de la SACEM pour Je hais les dimanches. En 1952, elle part en tournée au Brésil et aux États-Unis dans la revue April in Paris. En 1954, elle chante à l'Olympia. En mai 1958, son ami Boris Vian devient son directeur artistique (label Fontana, filiale de Philips) et demande à André Popp de composer pour une nouvelle chanteuse, Juliette Gréco, Musique mécanique (auteur : Boris Vian), La Complainte du téléphone (auteur : François Billetdoux) et De Pantin à Pékin♪ (auteur : Pierre Delanoë). Elle rencontre le comédien Philippe Lemaire, sur le tournage du film Quand tu liras cette lettre de Jean-Pierre Melville, et l'épouse le 25 juin 1953. Ils divorcent en 1956 après la naissance de leur fille Laurence-Marie (née le 24 mars 1954).
Elle repart pour New York et ses interprétations des plus grands auteurs français enthousiasment les Américains. Mel Ferrer, qu'elle a connu sur le tournage d'Elena et les hommes de Jean Renoir (1956) et devenu depuis un de ses « grands copains », lui téléphone depuis Mexico où va se tourner son prochain film, car il pense qu'elle conviendrait « à son producteur qui cherche une Française pour un petit mais très intéressant rôle dans Le soleil se lève aussi dirigé par Henry King ». C'est ainsi qu'elle fait la connaissance de Darryl F. Zanuck, avec qui elle entame une relation amoureuse. Elle tourne dans quelques-unes de ses productions, notamment Les Racines du ciel (John Huston, 1958) et Drame dans un miroir (Richard Fleischer, 1960), films dans lesquels elle partage l'affiche avec Orson Welles. Mais sa relation avec Zanuck est houleuse car celui-ci, dixit Juliette Gréco, « possessif et passionné. […] a vécu avec moi une aventure exotique, mais finalement douloureuse, malheureusement ». En même temps que s'achève sa relation avec Darryl Zanuck, c'est avec le film d'aventure Le Grand Risque (Richard Fleischer, 1961) que s'achève sa carrière « hollywoodienne », sans qu'elle ait jamais mis les pieds dans les studios américains de la 20th Century Fox.
Consécration
Au début des années 1960, elle revient à la chanson et ne la quitte plus. Elle chante notamment Jacques Brel, Léo Ferré, Guy Béart et aussi Serge Gainsbourg, qui est alors un quasi inconnu. En 1962, elle fait partie des premiers actionnaires de Minute. À cette époque le journal, fondé par Jean-François Devay, médaillé de la Résistance, « est alors plutôt tourné vers l’actualité « people ». [...] Et s’inscrit également dans la lignée des journaux satiriques » du moment. Il compte parmi ses premiers actionnaires des personnalités comme Françoise Sagan, Eddie Barclay, Fernand Raynaud, Alain Griotteray ou encore Marcel Dassault. En 1965, elle se produit gratuitement dans les maisons des jeunes et de la culture de la banlieue parisienne, devant un public constitué d'étudiants et d'ouvriers. Toujours en 1965, elle tient un rôle de premier plan dans le feuilleton télévisé Belphégor ou le Fantôme du Louvre. La même année, lors d'un « dîner de têtes d'affiches » organisé par le magazine Télé 7 jours, elle est assise aux côtés de Michel Piccoli, dont elle tombe amoureuse. Ils se marient en 1966 et se séparent en 1977.
Du 16 septembre au 23 octobre 1966, le TNP accueille pour la première fois dans sa grande salle (2 800 places) du palais de Chaillot deux chanteurs : Juliette Gréco et Georges Brassens. En 1968, elle inaugure la formule des concerts de 18 h 30 au théâtre de la Ville à Paris. Elle y interprète l'une de ses plus célèbres chansons, Déshabillez-moi. Elle enregistre en avril 1969 un titre de Didier Rimaud à la demande de son ami François Rauber, Faudrait aller plus loin, chanson intégrée à l'album Difficile amour de Bernard Geoffroy. Au début des années 1970, Juliette Gréco effectue de nombreuses tournées à l'étranger (notamment en Italie, en Allemagne, au Canada et au Japon), alors qu'en France, son succès semble marquer le pas. En effet, en 1972, elle quitte les productions Philips, chez qui elle enregistrait depuis plus de vingt ans, pour les productions Barclay et, sous ce label, sort deux albums : Juliette Gréco chante Maurice Fanon (1972) et Je vous attends (1974), opus essentiellement écrit par Henri Gougaud, exception faite de Ta Jalousie de Jean-Loup Dabadie et de la reprise de L'Enfance, chanson de Jacques Brel (extraite de son film de 1973, Le Far West). Parallèlement, Gérard Jouannest, son pianiste et accompagnateur depuis 1968, qu'elle épouse vingt ans plus tard, devient son compositeur attitré.
Elle soutient François Mitterrand pour l'élection présidentielle de 1974. Nouveau changement de maison de disque en 1975. Elle quitte Barclay pour faire graver ses deux albums suivants chez RCA Victor : Vivre en 1975, et Gréco chante Jacques Brel, Henri Gougaud, Pierre Seghers en 1977. Pour ces deux albums, elle reprend sa plume de parolière (exercice auquel elle s'est déjà essayée en 1969) pour écrire successivement : Fleur d'orange, Le Mal du temps et L'Enfant (1975), Pays de déraison et L'amour trompe la mort (1977). Sa carrière de parolière s'achève avec ces cinq titres. Entre 1982 et 1983, elle semble faire un bilan de sa carrière, car consécutivement à la parution de ses mémoires (Jujube, Stock, 1982), Juliette Gréco établit sous la direction artistique de Gérard Meys son anthologie discographique telle qu'elle la conçoit à ce moment-là. François Rauber réalise les arrangements et dirige l'orchestre tandis que Gérard Jouannest est au piano. Cette anthologie est commercialisée en trois volumes séparés chez les disques Meys (voir discographie).
Toujours chez les disques Meys, Gréco enregistre un nouvel album, Gréco 83 où, encore une fois, de nouveaux auteurs venus d'horizons divers lui écrivent du sur-mesure, dont Les Années d'autrefois, du journaliste Richard Cannavo, qui devient un titre incontournable de ses tours de chant. Parmi les autres auteurs figurent le dessinateur humoristique Gébé (Bleu sans cocaïne), l'auteur-compositeur-interprète Allain Leprest (Le Pull-over, musique de Jean Ferrat) et le parolier Claude Lemesle (Y a que les hommes pour s'épouser). Elle est faite chevalier de la Légion d'honneur par le Premier ministre Laurent Fabius, le 23 octobre 1984. Elle retrouve son public de l'Olympia en 1991 et l'album du concert est édité par Philips. Elle enregistre en 1993 un album écrit par Étienne Roda-Gil sur des musiques, entre autres, de João Bosco, Julien Clerc, Gérard Jouannest et Caetano Veloso. En octobre de la même année, un nouvel Olympia précède une tournée. Après une absence discographique de quatre ans, elle enregistre, en 1998, pour les disques Meys un album écrit par Jean-Claude Carrière. Son récital au théâtre de l'Odéon à Paris en mai 1999 est enregistré.
Depuis 2000
En 2003, elle enregistre chez Polydor un nouvel album sur des textes de Christophe Miossec, Marie Nimier et Jean Rouault, Benjamin Biolay et Gérard Manset. L'ensemble est mis en musique par Gérard Jouannest et François Rauber. Elle retrouve l'Olympia en 2004. En 2006 elle part pour New York enregistrer un album avec des musiciens de jazz qui paraît en France sous le titre Le Temps d'une chanson. Elle le chante sur la scène du théâtre du Châtelet à Paris seulement accompagnée d'un piano et d'un accordéon. Le 10 mars 2007, les Victoires de la musique la couronnent d'une « Victoire d'honneur » pour toute sa carrière. Pour la première fois, le 27 octobre 2007, elle donne un concert à la salle Pleyel accompagnée d'une formation réduite. En novembre 2008, elle enregistre en duo la chanson Roméo et Juliette avec Abd Al Malik (album Dante).
Fin 2008, début 2009, elle prépare un nouvel album réalisé à partir de textes d'Olivia Ruiz et d'Abd Al Malik. En mars 2010, un nouveau documentaire, Je suis comme je suis de Brigitte Huault-Delannoy, est projeté en son honneur et en sa présence à Montréal (place des Arts). Le 27 juillet 2011 elle donne le récital de clôture du festival de Valence sur la scène du parc Jouvet, accompagnée par son pianiste Gérard Jouannest et un accordéoniste. Des centaines de spectateurs l'applaudissent et lui offrent une longue ovation debout. Elle est membre du comité de parrainage de la Coordination pour l'éducation à la non-violence et à la paix. Proche de la gauche, elle a cosigné, avec Pierre Arditi, Maxime Le Forestier et Michel Piccoli une lettre ouverte, le 4 mai 2009, à l'intention de Martine Aubry, première secrétaire du Parti socialiste, appelant les députés socialistes à adopter la loi Création et Internet.
En janvier 2012, elle sort un nouvel album Ça se traverse et c'est beau…, un hommage à Paris et ses ponts. Marie Nimier, Thierry Illouz, Amélie Nothomb, François Morel, Antoine Sahler, Philippe Sollers, Gérard Duguet-Grasser ou encore Jean-Claude Carrière figurent entre autres parmi les auteurs des chansons de cet album. Melody Gardot, Marc Lavoine et Féfé l'accompagnent chacun en duo et Guillaume Gallienne y interprète un texte. En février 2012, elle est pour trois soirs sur la scène du théâtre du Châtelet de Paris. Le 5 février 2012, à l'occasion de son 85e anniversaire, elle est la vedette de la soirée sur Arte qui diffuse Juliette Gréco, l'insoumise le film documentaire d'Yves Riou et Philippe Pouchain (projeté au « Rendez-vous with French Cinéma » à New-York) suivi de son concert de 2004 à l'Olympia ; pour les téléspectateurs allemands, les chansons de son concert ont été sous-titrées par des textes allemands dus à la plume de Didier Caesar (Dieter Kaiser, Stuttgart).
Le 12 avril 2012, Juliette Gréco reçoit, des mains du maire Bertrand Delanoë, la Grande médaille de vermeil de la Ville de Paris. Bertrand Delanoë déclare : « Il était temps que sa ville lui dise merci. Juliette Gréco, c'est la Parisienne. La Parisienne d’aujourd’hui et la Parisienne qui incarne le temps de Paris qui ne passe jamais ». La chanteuse, qui a souvent représenté la France et Paris à l'étranger, répond : « Je ne suis pas née à Paris, j'ai vu le jour à Montpellier. Mais j'ai été mise au monde ici. » En Allemagne, le samedi 14 avril 2012, elle monte de nouveau sur la scène du Theaterhaus Stuttgart pour un concert donné à guichets fermés, accompagnée par son pianiste et mari Gérard Jouannest, devant un public ravi qui, pour la remercier, se lève pour l'applaudir. Dans sa loge elle accueille le traducteur et interprète de chansons françaises Dieter Kaiser, chanteur lui-même de chansons et auteur-compositeur allemand sous le nom de scène Didier Caesar.
Le 20 octobre 2012, elle est faite « citoyenne d’honneur de la Ville de Montpellier » et inaugure la plaque apposée sur la façade de la maison située au 2, rue Doria (quartier des Arceaux) où elle est née le 7 février 1927 au matin. Elle y a vécu jusqu’à l’âge de trois ans avant d’aller habiter chez sa grand-mère maternelle domiciliée dans le Bordelais. Le 1er octobre 2013, Juliette Gréco, victime d'un malaise après quarante-cinq minutes, n'a pas pu finir son concert sur la scène de l'espace Montgolfier à Davézieux, près d'Annonay (source Le Dauphiné/Ardèche). Le 28 octobre 2013 sort, chez Deutsche Grammophon/Universal Music, l'album Juliette Gréco chante Brel, réunissant douze chansons de Jacques Brel arrangées par le pianiste Bruno Fontaine et par le mari de la chanteuse, Gérard Jouannest. Deux récitals de la chanteuse sont annoncés pour les 16 et 17 mai 2014 à l'Olympia.
En 2014, le trompettiste Ibrahim Maalouf l'invite dans le concert qu'il donne à l'Olympia et l'accompagne dans la reprise de La Javanaise. Début 2015, elle annonce une ultime tournée qui débutera fin avril 2015 : « J'ai 88 ans, et je n'ai pas envie de monter sur scène en boîtant. C'est une question de courtoisie, de dignité. [...] Je veux partir debout. Je ne voudrais pas faire pitié. J'ai horreur de ça », déclare-t-elle durant une interview avec Le Parisien. Le 24 avril 2015, elle commence sa tournée d’adieu intitulée « Merci » qui dure un an. À la première date de sa tournée, le 24 avril au Printemps de Bourges, elle est obligée d’écourter son récital, victime d’un coup de chaleur. Elle est de nouveau victime d'un coup de chaleur à la première date de sa tournée au Canada à Tadoussac, le 12 juin 2015, et ne peut terminer son tour de chant. En novembre 2015, sort L'Essentielle, une anthologie de ses chansons en 13 CD ainsi qu'une compilation intitulée Merci ! incluant la chanson inédite Merci, écrite par Christophe Miossec et composée par Gérard Jouannest.
« Merci », tournée d'adieux et fin de vie
Sa tournée d'adieux « Merci », comprenant plusieurs dizaines de dates, a lieu en avant-première le 1er mars 2015 à Athènes (Grèce), mais commence officiellement le 24 avril 2015 au Printemps de Bourges. Juliette Gréco chante ensuite à Tel Aviv au début mai 2015, puis au Canada à Tadoussac, Montréal, Sherbrooke et Toronto en juin 2015, en Italie à Milan et Spolète puis en Belgique à Anvers en juillet 2015, à la Fête de l'Humanité, au festival de la voix au Pays de Dieulefit ainsi qu'à Amsterdam en septembre 2015, en Allemagne (Berlin, Francfort, Hambourg, Stuttgart) puis une partie de la France (Tours, Limoges, Lons-le-Saunier et Caen) en octobre et novembre 2015. En décembre 2015, elle fait quelques grandes salles parisiennes (Châtelet, théâtre des Champs-Élysées et La Cigale). Le 6 février 2016, elle donne un concert exceptionnel dans le musée du Louvre devant la sculpture de la Victoire de Samothrace puis un autre le 7 février, jour de ses 89 ans, au théâtre de la Ville de Paris qu'elle avait inauguré en 1968. De la fin février à la mi-mars 2016, elle continue sa tournée en province française, elle chante à Abbeville, Châtel-Guyon, Nîmes, Sérignan, Saint-Estève.
Le 24 mars 2016, elle est victime d'un AVC dans un hôtel du centre ville de Lyon où elle faisait étape en vue d'un concert à Sausheim prévu le lendemain. Quelque temps après cet AVC, son entourage indique qu'elle a « bien récupéré » et « retrouvé toutes ses facultés physiques et intellectuelles ». Pourtant, début avril, son producteur annonce qu'elle entame une convalescence et qu'elle devra reporter à l'automne 2016 la plupart des concerts prévus au printemps : Sausheim, Maison-Alfort, Chenôve, Langres, au Casino de Paris ainsi qu'à Cardiff, au Barbican Centre de Londres et au Bunkamura Hall de Tokyo. Au fil des mois, elle annule graduellement l'intégralité des dates restantes de sa tournée. Son dernier concert restera donc celui du 12 mars 2016 au Théâtre de l'Étang à Saint-Estève en France. Dans le magazine Télérama du 24 juillet 2020, elle se confie sur sa vie depuis son accident et son retrait de la scène, révélant notamment au public le décès de sa fille Laurence à l'âge de 62 ans en 201624. Elle meurt le 23 septembre 2020 à Ramatuelle (Var) à l'âge de 93 ans ; après une cérémonie à l'église de Saint-Saint-des-Prés, elle sera inhumée le 5 octobre 202025au cimetière du Montparnasse (division 7) auprès de son dernier époux Gérard Jouannest, mort deux ans plus tôt.
Carrière internationale
Tout au long de ses soixante-dix ans de carrière, depuis sa première tournée au Brésil en 1950 jusqu'à la fin de sa carrière en 2016, Juliette Gréco s'est produite sur les scènes des plus grands opéras ou théâtre d'Europe (Espagne, Portugal, Italie, Belgique, Suisse, Pays-Bas, Grande-Bretagne...). Après la Seconde Guerre mondiale, elle est d’ailleurs la première chanteuse française à se produire en Allemagne (notamment à la Philharmonie de Berlin où elle retourne régulièrement, de la seconde moitié des années 1960 jusqu’aux années 2000). Dès les années 1950, Juliette Gréco s’installe définitivement parmi les rares artistes français capables de remplir des salles dans le monde entier, tout en s'entourant généralement de musiciens français et en leur donnant des opportunités de carrières internationales (ex. Jean-Marc Lajudie)[réf. nécessaire]. À titre d'exemple, on compte plus d'une trentaine de tournées au Japon depuis 1961, de multiples concerts aux États-Unis, en Amérique du Sud, au Canada, en Israël… Au Chili, l’un de ses récitals fait date : conviée à chanter devant un parterre de militaires, la chanteuse interprète ce soir-là un programme constitué en majeure partie de chansons antimilitaristes : « Je suis sortie de scène dans un silence de mort ; le plus beau bide de ma carrière. »
En 1953, elle se marie avec le comédien Philippe Lemaire (1927-2004). Ils ont une fille, Laurence-Marie Lemaire, scripte de cinéma (1954-2016). Ils se séparent en 1956. Juliette consacre deux chansons à sa fille en 1970, l'année de ses 16 ans. De 1966 à 1977, elle est mariée à l'acteur Michel Piccoli (1925-2020). En 1988, elle épouse Gérard Jouannest (1933-2018).
- 1950 : Si tu t'imagines, poème de Raymond Queneau mis en musique de Joseph Kosma.
- 1950 : La Fourmi, poème de Robert Desnos mis en musique par Joseph Kosma.
- 1951 : Je suis comme je suis, paroles de Jacques Prévert et musique de Joseph Kosma.
- 1951 : Les Feuilles mortes, du film Les Portes de la nuit de Marcel Carné, paroles de Jacques Prévert et musique de Joseph Kosma.
- 1951 : Sous le ciel de Paris, du film Sous le ciel de Paris de Julien Duvivier, paroles de Jean Dréjac et musique d’Hubert Giraud.
- 1951 : Je hais les dimanches, paroles de Charles Aznavour et musique de Florence Véran
- 1953 : La Fiancée du pirate, extraite de L'Opéra de quat'sous, adaptation française d'André Mauprey d'après des paroles de Bertolt Brecht, musique de Kurt Weill.
- 1954 : Coin de rue, paroles et musique de Charles Trenet.
- 1955 : Chanson pour l'Auvergnat, paroles et musique de Georges Brassens.
- 1957 : Musique Mécanique, paroles Boris Vian, musique et orchestration d'André Popp
- 1957 : La Complainte du téléphone, paroles François Billetdoux,musique et orchestration d'André Popp
- 1959 : De Pantin à Pékin, paroles de Pierre Delanoé, musique et orchestration d'André Popp
- 1959 : Il était une oie, paroles et musique Serge Gainsbourg, (orchestration André Popp)
- 1960 : Il n'y a plus d’après, paroles et musique de Guy Béart.
- 1961 : Jolie Môme, paroles et musique de Léo Ferré (orchestration André Popp)
- 1961 : C'était bien (Le P'tit bal perdu), paroles de Robert Nyel et musique de Gaby Verlor.
- 1961 : Le Temps passé, paroles et musique de Georges Brassens (orchestration André Popp)
- 1961 ; Chandernagor, paroles et musique de Guy Béart (orchestration André Popp)
- 1962 : Accordéon, paroles et musique de Serge Gainsbourg.
- 1962 : Paris Canaille, paroles et musique de Léo Ferré.
- 1963 : La Javanaise, paroles et musique de Serge Gainsbourg.
- 1966 : Un petit poisson, un petit oiseau, paroles de Jean-Max Rivière et musique de Gérard Bourgeois.
- 1967 : Déshabillez-moi, paroles de Robert Nyel et musique de Gaby Verlor.
- 1970 : Les Pingouins, paroles et musique de Frédéric Botton.
- 1971 : La Chanson des vieux amants, paroles de Jacques Brel et musique de Gérard Jouannest.
- 1971 : J'arrive, paroles de Jacques Brel et musique de Gérard Jouannest.
- 1972 : Mon fils chante, paroles de Maurice Fanon et musique de Gérard Jouannest.
- 1977 : Non monsieur je n'ai pas vingt ans, paroles d’Henri Gougaud et musique de Gérard Jouannest.
- 1983 : Le Temps des cerises, poème de Jean Baptiste Clément et musique d'Antoine Renard.
- 1988 : Ne me quitte pas, paroles et musique de Jacques Brel.
- 2006 : La Chanson de Prévert, paroles et musique de Serge Gainsbourg.
- 2009 : Le Déserteur, paroles et musique de Boris Vian.
- 1948 : Les Frères Bouquinquant de Louis Daquin : une religieuse
- 1949 : Ulysse ou les mauvaises rencontres (Aller et retour), court métrage d'Alexandre Astruc : Calypso
- 1949 : Au royaume des cieux de Julien Duvivier : Rachel
- 1950 : Orphée de Jean Cocteau : Aglaonice
- 1950 : Sans laisser d'adresse de Jean-Paul Le Chanois : la chanteuse — Elle chante La Fiancée du prestidigitateur
- 1951 : Boum sur Paris de Maurice de Canonge : elle-même
- 1952 : Le Gantelet vert (The Green Glove) de Rudolph Maté : la chanteuse — Elle chante Romance et L'amour est parti
- 1953 : La Route du bonheur (Saluti e baci) de Maurice Labro et Giorgio Simonelli : elle-même
- 1953 : Quand tu liras cette lettre de Jean-Pierre Melville : Thérèse Voise
- 1955 : Elena et les Hommes de Jean Renoir : Miarka, la bohémienne — Elle chante Miarka et Méfiez-vous de Paris
- 1956 : La Châtelaine du Liban (La Castellana del Libano) de Richard Pottier : Maroussia — Elle chante Mon cœur n'était pas fait pour ça
- 1956 : L'Homme et l'Enfant de Raoul André : Nicky Nistakos
- 1957 : Œil pour œil (Occhio per occhio) d'André Cayatte, Gréco (silhouette) chante C'est de destin qui commande
- 1957 : Le soleil se lève aussi (The Sun Also Rises) d'Henry King : Georgette Aubin
- 1958 : Bonjour tristesse d'Otto Preminger : elle-même — Elle chante Bonjour tristesse
- 1958 : Les Racines du ciel (The Roots of Heaven) de John Huston : Minna
- 1958 : La Rivière des alligators (The Naked Earth) de Vincent Sherman : Maria — Elle chante Demain il fera jour
- 1959 : La Lorelei brune (Whirlpool) de Lewis Allen : Lora — Elle chante Whirlpool et Pieds nus dans mes sabots (Barefoot In My Clogs)
- 1960 : Drame dans un miroir (Crack in the Mirror) de Richard Fleischer : Éponine/Florence
- 1961 : Le Grand Risque (The Big Gamble) de Richard Fleischer : Marie
- 1962 : Maléfices d'Henri Decoin : Myriam Heller
- 1964 : Cherchez l'idole de Michel Boisrond : simple apparition
- 1965 : L'Amour à la mer de Guy Gilles : l'actrice
- 1965 : La Case de l'oncle Tom (Onkel Toms Hütte) de Géza von Radványi : Dinah — Elle chante Tant pis, tant pis pour moi (So Much the Worse For Me)
- 1966 : La Nuit des généraux (The Night of the Generals) d'Anatole Litvak : Juliette — Elle chante L'amour est plus jeune que la mort
- 1967 : Le Désordre à vingt ans, documentaire de Jacques Baratier : elle-même
- 1973 : Le Far West de Jacques Brel : simple apparition
- 1975 : Lily aime-moi de Maurice Dugowson : Flo
- 1999 : Lettre à mon frère Guy Gilles, cinéaste trop tôt disparu, documentaire (moyen métrage) de Luc Bernard : elle-même
- 2001 : Paris à tout prix, télésuite documentaire d'Yves Jeuland : elle-même
- 2001 : Belphégor, le fantôme du Louvre : la dame qui passe dans le cimetière
- 2002 : La Dernière Fête de Jedermann (Jedermanns Fest) de Fritz Lehner : Yvonne Becker
Albums studio
Note : le premier disque enregistré par Juliette Gréco est édité en 78 tours par le label Columbia Records et paraît en novembre 1950 avec trois titres :
1950 : Si tu t'imagines (Columbia Records, 78 tours COLDF3367)
- Si tu t'imagines (poème de Raymond Queneau et musique de Joseph Kosma)
- La Fourmi (poème de Robert Desnos et musique de Joseph Kosma)
- Rue des Blancs-Manteaux, de la pièce de théâtre Huis clos (paroles de Jean-Paul Sartre et musique de Joseph Kosma)
Arrangements et direction d'orchestre de Pierre Arimi
Note : en 1951, elle est la première artiste à enregistrer pour le tout nouveau label Philips qui inaugure donc sa production avec le 78 tours N 72.000 H (Amours perdues) qui paraît en septembre 1951.
1951 : Amours perdues (Philips, 78 tours N 72.000 H)
- Amours perdues (paroles de Georges Neveux et musique de Joseph Kosma)
- La Belle Vie (paroles de Jacques Prévert et musique de Joseph Kosma)
Arrangements et direction d'orchestre d'André Grassi
1951 : Sous le ciel de Paris (Philips, 78 tours N 72.001 H)
- Sous le ciel de Paris, du film Sous le ciel de Paris (paroles de Jean Dréjac et musique d'Hubert Giraud)
- Embrasse-moi (paroles de Jacques Prévert et musique de Wal-Berg)
Arrangements et direction d'orchestre d'André Grassi
1951 : Je hais les dimanches (Philips, 78 tours N 72.014 H)
- Je hais les dimanches, paroles de Charles Aznavour et musique de Florence Véran
- Il y avait, paroles de Charles Aznavour et musique de Pierre Roche
Arrangements et direction d'orchestre d'André Grassi
1951 : Je suis comme je suis (Philips, 78 tours N 72.024 H)
- Je suis comme je suis (paroles de Jacques Prévert et musique de Joseph Kosma)
- À la belle étoile (paroles de Jacques Prévert et musique de Joseph Kosma)
Arrangements et direction d'orchestre d'André Grassi
1952 : Juliette Gréco chante ses derniers succès (Philips, 33 tours 25 cm N 76.000 R)
- Romance, du film Le Gantelet vert (paroles d'Henri Bassis et musique de Joseph Kosma), Grand Prix du disque 1952
- Je suis comme je suis (paroles de Jacques Prévert et musique de Joseph Kosma)
- Les enfants qui s'aiment, du film Les Portes de la nuit (paroles de Jacques Prévert et musique de Joseph Kosma)
- Embrasse-moi (paroles de Jacques Prévert et musique de Wal-Berg)
- Sous le ciel de Paris, du film Sous le ciel de Paris (paroles de Jean Dréjac et musique d'Hubert Giraud)
- La Chanson de Barbara (Barbara-Song), extraite de L'Opéra de quat'sous (paroles françaises d'André Mauprey d'après des paroles de Bertolt Brecht sur une musique de Kurt Weill)
- Les Feuilles mortes, du film Les Portes de la nuit (paroles de Jacques Prévert et musique de Joseph Kosma)
- Je hais les dimanches (paroles de Charles Aznavour et musique de Florence Véran), Prix Édith-Piaf d'interprétation Deauville 1951
Arrangements et direction d'orchestre d'André Grassi
1953 : Juliette Gréco chante ses derniers succès 2e série (Philips, 33 tours 25 cm N 76.020 R)
- La Fiancée du pirate, de L'Opéra de quat'sous (paroles françaises d'André Mauprey d'après des paroles de Bertolt Brecht et musique de Kurt Weill)
- Les Croix (paroles de Louis Amade et musique de Gilbert Bécaud)
- Amours perdues (paroles de Georges Neveux et musique de Joseph Kosma)
- L'Ombre (paroles de François Mauriac et musique de Luc Porret)
- Les Dames de la poste (paroles de Francis Blanche et musique d'Alec Siniavine)
- Il y avait (paroles de Charles Aznavour et musique de Pierre Roche)
- La Chanson de Catherine (paroles de Youri/André Journiaux et musique de Pierre Journiaux)
- À la belle étoile (paroles de Jacques Prévert et musique de Joseph Kosma)
Arrangements et direction d'orchestre d'André Grassi
1956 : Juliette Gréco no 4 (33 tours 25 cm Fontana Records 660.208 MR)
- Sans vous aimer (paroles de Françoise Sagan et musique de Michel Magne)*
- Méfiez-vous de Paris, du film Elena et les Hommes (paroles de Jean Renoir et musique de Joseph Kosma)***
- Le Jour (paroles de Françoise Sagan et musique de Michel Magne)*
- Guinguettes (paroles d'Eddy Marnay et musique d'Emil Stern)**
- Vous, mon cœur (paroles de Françoise Sagan et musique de Michel Magne)*
- Le Guinche (paroles et musique de Léo Ferré)**
- La Chanson de Gervaise, du film Gervaise (paroles de Raymond Queneau et musique de Georges Auric)**
- Miarka, du film Elena et les Hommes (paroles de Jean Renoir et musique de Joseph Kosma)***
- L’Amour (paroles et musique de Léo Ferré)**
- Mon cœur n’était pas fait pour ça, du film La Châtelaine du Liban (paroles de Paul Misraki/Gisèle Reille et musique de Paul Misraki)***
Orchestres : * Michel Magne, ** Michel Legrand, *** André Popp
1958 : Juliette New Style no 5 (Philips, 33 tours 25 cm B 76.417 R)
- Bonjour tristesse, VF du film Bonjour tristesse (paroles d'Henri Lemarchand/Jacques Datin et musique de Georges Auric)
- Complainte du téléphone (paroles de François Billetdoux et musique d'André Popp)
- Java partout (paroles et musique de Léo Ferré)
- La fête est là (paroles et musique de René-Louis Lafforgue)
- Musique mécanique (paroles de Boris Vian et musique d'André Popp)
- Chandernagor (paroles et musique de Guy Béart)
- Qu'on est bien (paroles et musique de Guy Béart)
- Complainte (paroles de Raymond Queneau et musique de Guy Béart)
- Que j'aime (paroles et musique de Guy Béart)
- Les Lunettes (paroles et musique de Guy Béart)
1959 : Si tu t'imagines no 6 (Philips, 33 tours 25 cm, réf. 76 479 R (mono) et réf. 840 900 PZ (stéréo))
- Si tu t'imagines (poème de Raymond Queneau et musique de Joseph Kosma)*
- Coin de rue (paroles et musique de Charles Trenet)*
- Le Guinche (paroles et musique de Léo Ferré)*
- Sous le ciel de Paris, du film Sous le ciel de Paris (paroles de Jean Dréjac et musique d'Hubert Giraud)*
- La Fourmi (poème de Robert Desnos et musique de Joseph Kosma)**
- Chanson pour l'Auvergnat (paroles et musique de Georges Brassens)*
- Chandernagor (paroles et musique de Guy Béart)*
- Je hais les dimanches (paroles de Charles Aznavour et musique de Florence Véran), Prix Édith-Piaf d'interprétation Deauville 1951*
- La fête est là (paroles et musique de René-Louis Lafforgue)**
- Ça Va (Le Diable) (paroles et musique de Jacques Brel)*
* Arrangements et direction d'orchestre d'Alain Goraguer
** Arrangements et direction d'orchestre d'André Popp
1961 : Jolie Môme no 7 (Philips, 33 tours 25 cm)
- On n'oublie rien (paroles de Jacques Brel et musique de Gérard Jouannest)
- La Cuisine (paroles et musique de Jean Dréjac)
- Il n'y a plus d'après (paroles et musique de Guy Béart)
- C'était bien (paroles de Robert Nyel et musique de Gaby Verlor)
- Jolie Môme (paroles et musique de Léo Ferré)
- Le Temps passé (paroles et musique de Georges Brassens)
- Les Pas réunis (paroles et musique de Guy Béart)
- Paname (paroles et musique de Léo Ferré)
- Les Imbéciles (paroles de Bernard Dimey/Jean-Claude Pascal et musique de Léo Chauliac)
- La Famille Dupanard (poème de Robert Desnos et musique d'Arimi)
1963 : La Javanaise no 8 (Philips, 33 tours 25 cm)
- La Fête aux copains (paroles de Georges Coulonges et musique de Jean Ferrat)
- Le Torrent et l'Amour (paroles de Michel Vaucaire et musique de Charles Dumont)
- La Javanaise (paroles et musique de Serge Gainsbourg)
- Strip-tease, du film Strip-Tease (paroles de Serge Gainsbourg et musique d'Alain Goraguer)
- Sur le verbe aimer (paroles d'Aurélia et musique de Jean Ferrat)
- Les Canotiers (paroles de Georges Walter et musique de Philippe-Gérard)
- Le Monsieur et le Jeune Homme (paroles et musique de Guy Béart)
- La Propriétaire (paroles d'Yvan Audouard et musique de Charles Dumont)
- Rachel (paroles de Claude Delécluse et musique de Michelle Senlis)
1964 : Gréco chante Mac Orlan (Philips, 33 tours 30 cm, Haute Fidélité monorale, « Collection Rencontres » B 77.933 L)
Paroles de Pierre Mac Orlan et musiques de Philippe-Gérard
Grand Prix 1964 de l’Académie Charles-Cros
- Le Tour du Monde***
- Jean de la Providence de Dieu**
- Terre promise (La Chanson de Botany Bay)*
- Comptine*
- Le Pont du Nord***
- J'ai dans la Caroline***
- Le Départ des Joyeux*
- Je peux vous raconter (Les Quatre Saisons)*
- Matines (Ketje Siska)***
- Tendres promesses (Recouvrance)*
- Souris et Souricières***
* Avec André Popp et son orchestre
** Avec Jean-Michel Defaye et son orchestre
*** Avec François Rauber et son orchestre
Réédition en CD (stéréo) en 2001, Mercury Records 548388-2
1964 : Les Grandes Chansons de Juliette Gréco (Philips, 33 tours 30 cm, gravure universelle, B 77.959 L)
- Parlez-moi d'amour
- Douce France
- Moulin Rouge, du film Moulin Rouge
- Je suis seule ce soir
- Sur les quais du vieux Paris
- Ici l'on pêche
- Clopin-clopant
- L'Âme des poètes
- Mon homme
- Le Doux Caboulot
- Le Chaland qui passe, du film Les Hommes, quels mufles !
- La Mer
1967 : La Femme (Philips, 33 tours 30 cm 844.702 BY)
- Il ne faudrait pas que… (paroles de Billy Nencioli et musique de Johnny Rech)*
- Dans ton lit (paroles et musique de Guy Bontempelli)*
- Je t’attends à Charonne (paroles et musique de Leny Escudero)**
- Et le pays s'endort (paroles de Pierre Louki et musique de Yánnis Spanós)*
- Une chanson comme on n'en fait plus (paroles de Françoise Dorin et musique de Gaby Verlor)***
- Déshabillez-moi (paroles de Robert Nyel et musique de Gaby Verlor)***
- La Femme (paroles et musique de Guy Bontempelli)*
- Dimitri (paroles de Bernard Dimey et musique de Johnny Rech)**
- Marie-Violaine (paroles de Bernard Lauze et musique de Johnny Rech)**
- Il fait déjà… (paroles de Pierre Louki et musique de Jean-Claude Hamalian/Pierre Louki)*
- Je suis bien (paroles de Jacques Brel et musique de Gérard Jouannest)****
* Arrangements et direction d'orchestre de Michel Colombier
** Arrangements et direction d'orchestre de Paul Piot
*** Arrangements et direction d'orchestre de Bernard Gérard
**** Arrangements et direction d'orchestre de François Rauber
1968 : Peut-être que… (Philips, 33 tours 30 cm 844.796 BY)
- Peut-être que… (paroles de Maurice Fanon et musique de Gérard Jouannest)*
- Quand tu reviendras (paroles de Serge Lama et musique d'Yves Gilbert)**
- Le Tango (paroles et musique de Guy Bontempelli)*
- Chanson bleue (paroles d'Eddy Marnay et musique d'Emil Stern)**
- Six soldats (paroles de Pierre Louki et musique de Yánnis Spanós)**
- Le Roi Misère (paroles de Boris Bergman et musique de Florence Véran)*
- Frère Jacques (paroles de Pierre Louki et musique de Yánnis Spanós)**
- L'Or (paroles d'Eddy Marnay et musique d'Emil Stern)*
- Quand je serai loin (paroles de Pierre Louki et musique de Paul Lemel/Pierre Louki)**
- Les Feuilles de tabac (paroles de Boris Bergman et musique de Maurice Dulac)*
- Faites pas la guerre (paroles et musique de Guy Bontempelli)*
- Toi que j'attends (paroles de René Rouzaud et musique de Gérard Jouannest)**
* Arrangements et direction d'orchestre d'Alain Goraguer
** Arrangements et direction d'orchestre de François Rauber
Réédition en coffret 4 CD Universal en septembre 2011
1969 : Complainte amoureuse (Philips, 33 tours 30 cm 849.457 BY)
Toutes les musiques sont composées par Yánnis Spanós
- Les Coiffes noires (poème de Louis Le Cunff)*
- Et s'il revenait (poème de Maurice Maeterlinck)**
- Et je cousais (poème de Marie Noël)*
- Amour (poème de Paul Éluard)**
- Complainte amoureuse (poème d'Alphonse Allais)**
- Les Roses de Bagatelle (poème de Robert Desnos)**
- Le Petit Berger (poème de Paul Verlaine)**
- Berceuse (poème de Charles Cros)*
- Le Sergent Léon (poème d'André Frédérique)*
- Allons sur la prée (poème de Louis Aragon)**
- Le Roi Pluie (poème de Louis Aragon)*
- La Panthère (poème de Pierre Seghers)*
* Arrangements et direction d'orchestre d'Alain Goraguer
** Arrangements et direction d'orchestre de François Rauber
1971 : Face à face (Philips, 33 tours 30 cm 6311.073)
- J'arrive (paroles de Jacques Brel et musique de Gérard Jouannest)*
- Le Sixième Sens (paroles et musique de Serge Gainsbourg)**
- Les Pingouins (paroles et musique de Frédéric Botton)**
- Face à face (paroles de Jean-Claude Patrice et musique de Gérard Jouannest)**
- Je ne chanterai plus (paroles d'Yves Lecordier et musique de Gérard Jouannest)*
- Une feuille d’automne (paroles de Pierre Louki et musique de Jacques Datin)*
- La Chanson des vieux amants (paroles de Jacques Brel et musique de Gérard Jouannest)*
- Je me battrai toujours (paroles de Robert Nyel et musique de Gaby Verlor)*
- Trois petites notes de musique, du film Une aussi longue absence (paroles d'Henri Colpi et musique de Georges Delerue)***
- Ta main (paroles de Jean-Claude Patrice et musique de Gérard Jouannest)**
- Dans ton lit de cristal (paroles de Jean-Pierre Kernoa et musique de Gérard Jouannest)*
* Arrangements et direction d'orchestre de François Rauber
** Arrangements et direction d'orchestre d'Alain Goraguer
*** Avec Gérard Jouannest et son ensemble
Réédition en coffret 4 CD Universal en septembre 2011
1972 : Juliette Gréco chante Maurice Fanon (Disques Barclay, 33 tours 30 cm 80.468)
Paroles de Maurice Fanon et musiques de Gérard Jouannest
- Mon fils chante
- L'Embellie
- Tous ces gens-là sont bien gentils
- Détournement
- La Lelluia
- Mes théâtres
- Les Temps nouveaux
- J'en tremble
- La Bourrée des étoiles
- La Folle
- L'Anti-rose
- Les Fusils d'argent
Arrangements et direction de François Rauber
Réédition en 1 CD Mercury Records 536.597-2 en 2002
1974 : Je vous attends (Disques Barclay, 33 tours 30 cm 80.523)
- Je vous attends (paroles d'Henri Gougaud et musique de Gérard Jouannest)
- L'Enfance, du film Le Far West (paroles et musique de Jacques Brel)
- L'Ermite (paroles d'Henri Gougaud et musique de Gérard Jouannest)
- Valentin (paroles d'Henri Gougaud et musique de Gérard Jouannest)
- La Nouvelle Grèce (paroles d'Henri Gougaud et musique de Gérard Jouannest)
- Quand je serai couleur d'automne (paroles d'Henri Gougaud et musique de Gérard Jouannest)
- Au jardin d'amour (paroles d'Henri Gougaud et musique de Gérard Jouannest)
- Ta jalousie (paroles de Jean-Loup Dabadie et musique de Gérard Jouannest)
- C'est l’hiver (paroles d'Henri Gougaud et musique de Gérard Jouannest)
Le monde est beau le monde est fou (paroles d'Henri Gougaud et musique de Gérard Jouannest)
Arrangements et direction d'orchestre de François Rauber
1975 : Gréco (RCA Victor, 33 tours 30 cm FPL 10112)
Toutes les musiques sont de Gérard Jouannest
- Vivre (paroles d'Henri Gougaud)
- La Contredanse (paroles d'Henri Gougaud)
- Paris couleur novembre (paroles d'Henri Gougaud)
- Le Merle blanc (paroles d'Henri Gougaud)
- Fleur d'orange (paroles de Juliette Gréco)
- Le Mal du temps (paroles de Juliette Gréco)
- L'Enfant (paroles de Juliette Gréco)
- Dit-il, dit-elle (paroles d'Henri Gougaud)
- La Mariée sans souliers (paroles d'Henri Gougaud)
- Donne-moi (paroles d'Henri Gougaud)
- On est comme ça… messieurs, mesdames (paroles d'Henri Gougaud)
Arrangements et direction d'orchestre de François Rauber
1977 : Gréco chante Jacques Brel, Henri Gougaud, Pierre Seghers (RCA Victor, 33 tours 30 cm PL 37.119)
Toutes les musiques sont de Gérard Jouannest sauf en 1, musique de Jacques Brel
- Voir un ami pleurer (paroles de Jacques Brel)
- Pays de déraison (paroles de Juliette Gréco)
- Non monsieur je n'ai pas vingt ans (paroles d'Henri Gougaud)
- Adieu à toi (paroles de Pierre Seghers)
- Mon cœur c'est pareil (paroles d'Henri Gougaud)
- Je vous suivrai toujours (paroles d'Henri Gougaud)
- Paris aujourd'hui (paroles d'Henri Gougaud)
- Les Amours de fumée (paroles de Pierre Seghers)
- Les Voyous (paroles de Pierre Seghers)
- L'amour trompe la mort (paroles de Juliette Gréco)
- La Rose et l'Ancolie (paroles de Pierre Seghers)
- J'arrive (paroles de Jacques Brel)
Arrangements et direction d'orchestre de François Rauber
1983 : Gréco 83 (Disques Meys, 33 tours 30 cm MEY 528.242)
- Lola la rengaine (paroles de Richard Cannavo et musique de Gérard Jouannest)
- Bleu sans cocaïne (paroles de Gébé et musique de Gérard Jouannest)
- Le Pull-over (paroles d'Allain Leprest et musique de Jean Ferrat)
- La Place aux ormeaux (paroles de Robert Nyel et musique de Gérard Jouannest)
- Maréchal… (paroles de Georges Coulonges et musique de Jean Ferrat)
- Les Années d'autrefois (paroles de Richard Cannavo et musique de Gérard Jouannest)
- Y'a que les hommes pour s'épouser (paroles de Claude Lemesle et musique de Gérard Jouannest)
- Monsieur Fau'kner (paroles et musique de Jean-Claude Darnal)
- S'il pleuvait des larmes (paroles de Boris Vian et musique de Gérard Jouannest)
- La vie s'évite (paroles de Pierre Seghers et musique de Gérard Jouannest)
- Il est trop tard (paroles de Richard Cannavo et musique de Gérard Jouannest)
Arrangements et direction d'orchestre de François Rauber
1993 : Vivre dans l'avenir (Rubans rouges et Toiles noires) (Philips, CD 518 361-2)
Toutes les paroles sont d'Étienne Roda-Gil
- Vivre dans l'avenir (musique de Gérard Jouannest)*
- Comme un journal (musique de Jean-Claude Petit)**
- Le Cœur des anguilles (musique de João Bosco)***
- Si la bête a bu (musique de Gérard Jouannest)*
- Et là, t'y crois (musique de Julien Clerc)**
- Radio boum boum (musique de Gérard Jouannest)*
- Les femmes sont belles (musique de Gérard Jouannest)****
- Pyramide (musique de Gérard Jouannest)*
- Mickey travaille (musique de Caetano Veloso)*****
- Petit Barbare (musique de Jean-Claude Petit)**
- Rubans rouges et Toiles noires (musique de Gérard Jouannest)*
- Qu'on me donne une chanson d'amour (parlé)
* Arrangements et direction d'orchestre de François Rauber
** Arrangements et direction d'orchestre de Jean-Claude Petit
*** Guitares et chœurs de João Bosco
**** Arrangements et direction d'orchestre de Franço
***** Arrangements et direction d'orchestre de Jacques Morelembaum et guitare de Caetano Veloso
1998 : Un jour d'été et quelques nuits (Disques Meys, 1 CD MEY 74 479-2)
Paroles de Jean-Claude Carrière et musique de Gérard Jouannest
- Un jour d'été
- C'était un train de nuit
- Silence
- Le Contre-ecclésiaste (Rien n’est vanité)
- Érotique 1
- Valse
- La Réponse du roi
- La Porte du jour
- Planète
- Passages
- Tard
- Comme une idée
Arrangements et direction d'orchestre de François Rauber
2003 : Aimez-vous les uns les autres ou bien disparaissez... (Polydor, 1 CD 981 288-1)
- Je jouais sous un banc (paroles et musique de Gérard Manset)*
- L'Amour flou (paroles de Benjamin Biolay et musique de Gérard Jouannest)**
- Pour vous aimer (paroles de Marie Nimier/René Rouaud et musique d'Art Mengo)***
- Il et Elle (paroles de Christophe Miossec et musique de Gérard Jouannest)****
- Deux au monde (paroles et musique de Benjamin Biolay)*****
- Au temps où (paroles de Jean-Claude Carrière et musique de Gérard Jouannest)******
- Un peu moins que tout à l'heure (paroles et musique de Serge Gainsbourg)*****
- Couvre-feu (paroles de Christophe Miossec et musique de Gérard Jouannest)******
- Comme si de rien n'était (paroles de Benjamin Biolay et musique de Gérard Jouannest)***
- Même (paroles de Benjamin Biolay et musique de Gérard Jouannest)**
- Adieu bohème (paroles de Christophe Miossec et musique de Gérard Jouannest)******
- La Rose et le Réséda (poème de Louis Aragon et musique de Bernard Lavilliers)*******
- Déjeuner de soleil (paroles et musique de Benjamin Biolay)***
- La mer se retire (paroles de Jean-Claude Carrière et musique de Gérard Jouannest)******
* Arrangements d'Arnaud Devos, Jean-Louis Solans et Jean Lamoot
** Arrangements de Jean-Louis Solans et Arnaud Devos
*** Arrangements de Laurent Cugny
**** Arrangements d'Arnaud Devos
***** Arrangements de Benjamin Biolay et Jean Lamoot
****** Arrangements de François Rauber
******* Arrangements de Gérard Jouannest
2006 : Le Temps d'une chanson (Polydor, 1 CD 984 496-9)
- Utile (paroles d'Étienne Roda-Gil et musique de Julien Clerc)
- Né quelque part (paroles de Maxime Le Forestier et musique de Maxime Le Forestier/Jean-Pierre Sabard)
- Mathilde (paroles de Jacques Brel et musique de Gérard Jouannest)
- Syracuse (paroles de Bernard Dimey et musique d'Henri Salvador)
- La Folle Complainte (paroles et musique de Charles Trenet)
- Avec le temps (paroles et musique de Léo Ferré)
- Un jour tu verras, du film Secrets d'alcôve (paroles de Mouloudji et musique de Georges van Parys)
- Les Amants d'un jour (paroles de Michelle Senlis/Claude Delécluse et musique de Marguerite Monnot)
- Volare (paroles de Franco Migliacci/Domenico Modugno et musique de Domenico Modugno)
- Les Mains d'or (paroles de Bernard Lavilliers et musique de Pascal Arroyo)
- Over the Rainbow, du film Le Magicien d'Oz (paroles de E. Y. « Yip » Harburg et musique de Harold Arlen)
- La Chanson de Prévert (paroles et musique de Serge Gainsbourg)
Arrangements de Gil Goldstein et Gérard Jouannest (piano)
2009 : Je me souviens de tout (Polydor, 1 CD 531 625-9)
- Je me souviens de tout (paroles d’Orly Chap et musique de Gérard Jouannest)
- Madame Rosa (paroles d'Abd al Malik et musique de Gérard Jouannest)
- Bérénice (paroles de Maxime Le Forestier et musique de Gérard Jouannest)
- C'est le moment (paroles de Christophe Miossec et musique de Gérard Jouannest)
- Dans ma chambre de dame (paroles d'Olivia Ruiz et musique de Gérard Jouannest)
- Le Solitaire (paroles de Brigitte Fontaine et musique d'Areski Belkacem)
- Le Petit Matin de printemps (paroles de Valérie Véga et musique de Gérard Jouannest)
- Testament rose (paroles de Marie Nimier/Marc Estève et musique de Gérard Jouannest)*
- Tout ira bien (paroles d'Abd al Malik et musique de Gérard Jouannest)
- Un art assez difficile (paroles de Christophe Miossec et musique de Gérard Jouannest)
- L'Ombre du vent (paroles d'Olivia Ruiz et musique de Gérard Jouannest)**
- Ha ! Le Temps (paroles d'Adrienne Pauly et musique de Gérard Jouannest)
- Je n'ai jamais été (paroles de Marie Nimier et Thierry Illouz et musique de Gérard Jouannest)
Arrangements de Gérard Jouannest et Jean-Louis Matinier sauf :
* Arrangements de Gérard Jouannest
** Arrangements de Jean-Louis Matinier
2012 : Ça se traverse et c'est beau (Deutsche Grammophon, 1 CD 2785934)
- C'est la la la, en duo avec Marc Lavoine (paroles de Marc Lavoine et musique de Christophe Casanave)****
- L'Homme du pont (paroles de Marie Nimier et musique de Gérard Jouannest)**
- Sous les ponts de Paris, en duo avec Melody Gardot (paroles de Jean Rodor et musique de Vincent Scotto)***
- Le Pont Marie (paroles de Marie Nimier et musique de Gérard Jouannest)**
- Le Petit Pont (paroles de François Morel/Antoine Sahler et musique d'Antoine Sahler)**
- Paris se rêve, en duo avec Féfé (paroles et musique de Féfé)****
- Le Pont Juliette, Guillaume Gallienne récitant (paroles d'Amélie Nothomb et musique de Gérard Jouannest)*
- Seule avec toi, en duo avec Marc Lavoine (paroles de Marc Lavoine et musique de Christophe Casanave)****
- Pont Royal (paroles de Philippe Sollers et musique de Gérard Jouannest)**
- La Passerelle (paroles de Thierry Illouz/Marie Nimier et musique de Gérard Jouannest)**
- La Petite Auto, en duo avec Gérard Duguet-Grasser et avec la participation d'Alexandra Roos (paroles de Gérard Duguet-Grasser et musique de Naiché Caudron)**
- Mirabeau sous le pont (paroles de Jean-Claude Carrière et musique de Gérard Jouannest)*
- Le Miroir noir (paroles de Juliette Gréco et musique de Gérard Jouannest)**
*Arrangements de Gérard Jouannest
**Arrangements de Gil Goldstein
***Arrangements de Christian Escoudé
****Arrangements de Patrick Renson
2013 : Gréco chante Brel (Deutsche Grammophon, 1 CD 3757389)
- Ces gens-là (paroles et musique de Jacques Brel)*
- Les Vieux (paroles de Jacques Brel et musique de Jean Corti/Gérard Jouannest)*
- Amsterdam (paroles et musique de Jacques Brel)*
- Je suis un soir d'été (paroles et musique de Jacques Brel)**
- Bruxelles (paroles de Jacques Brel et musique de Gérard Jouannest)*
- Ne me quitte pas (paroles et musique de Jacques Brel)*
- Le Prochain Amour (paroles de Jacques Brel et musique de Gérard Jouannest)*
- J'arrive (paroles de Jacques Brel et musique de Gérard Jouannest)*
- J'aimais (paroles de Jacques Brel et musique de Gérard Jouannest/François Rauber)**
- Le Tango funèbre (paroles de Jacques Brel et musique de Gérard Jouannest)*
- Fils de... (paroles de Jacques Brel et musique de Gérard Jouannest)*
- La Chanson des vieux amants (paroles de Jacques Brel et musique de Gérard Jouannest)***
*Arrangements et direction d'orchestre de Bruno Fontaine
** Arrangements de Gérard Jouannest
*** Arrangements de Bruno Fontaine
Albums en public
1955 : Juliette Gréco à l'Olympia 3e série (Philips 33 tours 25 cm N 76.047 R)
- La Rue (paroles et musique de Léo Ferré)
- La Complainte des cœurs purs (Tu me dirais) (paroles de René Rouzaud et musique de Philippe-Gérard)
- Ça va (Le Diable) (paroles et musique de Jacques Brel)
- Les Cloches (poème de Guillaume Apollinaire et musique d'Henri Patterson)
- Dieu est nègre (paroles et musique de Léo Ferré)
- Chanson pour l'Auvergnat (paroles et musique de Georges Brassens)
- Sir Jack l'éventreur (paroles d'Albert Vidalie et musique d'Yves Darriet)
- Coin de rue (paroles et musique de Charles Trenet)
- La Fourmi (poème de Robert Desnos et musique de Joseph Kosma)
- Si tu t'imagines (poème de Raymond Queneau et musique de Joseph Kosma)
- Avec Henri Patterson et son orchestre. Réédition couplée avec Olympia 1966 sur 1 CD Mercury Records 981 361-3 (parution en 2004, voir section années 2000)
1962 : Juliette Gréco à l'ABC (Philips 33 tours 30 cm B 77.382 L)
- Les Petits Cartons (paroles de Bernard Dimey et musique de Francis Lai)
- Jusqu'à où, jusqu'à quand (paroles de Maurice Vidalin et musique de Jacques Datin)
- Jean de la Providence de Dieu (paroles de Pierre Mac Orlan et musique de Philippe-Gérard)
- Jolie Môme (paroles et musique de Léo Ferré)
- C'était bien (paroles de Robert Nyel et musique de Gaby Verlor)
- La Cuisine (paroles et musique de Jean Dréjac)
- Les Mariés (paroles de Maurice Vidalin et musique de Jacques Datin)
- Accordéon (paroles et musique de Serge Gainsbourg)
- Plus jamais (paroles et musique de Léo Ferré)
- Nos chères maisons (paroles de Bernard Dimey et musique de Francis Lai)
- Le Gros Lulu (paroles de ManouchkaNote 2 et musique de Manouchka/Henri Patterson)
- Paris Canaille (paroles et musique de Léo Ferré)
Avec Henri Patterson et son orchestre
1964 : Juliette Gréco à Bobino (Philips 33 tours 30 cm B 77.814 L)
- In memoriam (paroles de Maurice Vidalin et musique de Jacques Datin)
- La fête est finie (paroles de Michelle Senlis/Claude Delécluse et musique de Marc Heyral)
- Parallélébipèdes (paroles de Françoise Sagan et musique de Philippe-Gérard)
- Vieille (paroles et musique de Jacques Brel)
- Madame Bovary (paroles de Georges Walter et musique de Philippe-Gérard)
- La Propriétaire (paroles d'Yvan Audouard et musique de Charles Dumont)
- L'Auberge (paroles de Jacques Touray et musique d'André Lutereau)
- La Vénus du 5e Zouaves (paroles et musique de Jacques Debronckart)
- Je peux vous raconter (Les Quatre saisons) (paroles de Pierre Mac Orlan et musique de Philippe-Gérard)
- La Fiancée du pirate, de L'Opéra de quat'sous (paroles françaises d'André Mauprey d'après des paroles de Bertolt Brecht et musique de Kurt Weill)
- Sur l'arbre mort (paroles de Pierre Louki et musique de Colette Mansard)
- Olga (paroles de Jacques Plante et musique de Charles Aznavour)
Avec Henri Patterson et son orchestre
1966 : Juliette Gréco à la Philharmonie de Berlin (Philips 33 tours 30 cm « Artistique » L 77.485 L monophonique)
- Je suis comme je suis (paroles de Jacques Prévert et musique de Joseph Kosma)
- Rue des Chanteurs (paroles de Frank Gérald et musique de Claude Bolling)
- Madame (Votre fille a vingt ans) (paroles et musique de Georges Moustaki)
- Vieille (paroles et musique de Jacques Brel)
- Je hais les dimanches (paroles de Charles Aznavour et musique de Florence Véran)
- Il n'y a plus d'après (paroles et musique de Guy Béart)
- Sous le ciel de Paris, du film Sous le ciel de Paris (paroles de Jean Dréjac et musique d'Hubert Giraud)
- Jolie Môme (paroles et musique de Léo Ferré)
- Si tu t'imagines (paroles de Raymond Queneau et musique de Joseph Kosma)
- Parlez-moi d'amour (paroles et musique de Jean Lenoir)
- La Fourmi (poème de Robert Desnos et musique de Joseph Kosma)
- Les Feuilles mortes, du film Les Portes de la nuit (paroles de Jacques Prévert et musique de Joseph Kosma)
- Paris Canaille (paroles et musique de Léo Ferré)
Avec Henri Patterson et son orchestre
Jacques Liébrard à la guitare
Marcel Dutrieux à la guitare basse
Noël Moralès à l'accordéon
1966 : Juliette Gréco à l'Olympia (Philips, 33 tours 30 cm B 70.342 L monophonique et 840.577 PY stéréo)
- Introduction musicale (instrumental)
- J'ai le cœur aussi grand (paroles de Bernard Dimey et musique de Johnny Rech)
- Plus jamais (paroles et musique de Léo Ferré)
- Un petit poisson, un petit oiseau (paroles de Jean-Max Rivière et musique de Gérard Bourgeois)
- Vieille (paroles et musique de Jacques Brel)
- Rêveuse et Fragile (poème de Robert Desnos et musique de Yánnis Spanós)
- À contrecœur (paroles de Jean-Max Rivière et musique de Gérard Bourgeois)
- Je suis bien (paroles de Jacques Brel et musique de Gérard Jouannest)
- Chambre 33 (paroles de Roger Vitrac et musique de Yánnis Spanós)
- C'était peut-être (paroles de Jacques Touray et musique d'André Lutereau)
- Nos chères maisons (paroles de Bernard Dimey et musique de Francis Lai)
- La Fiancée du pirate, extrait de L'Opéra de quat'sous (paroles françaises d'André Mauprey d'après des paroles de Bertolt Brecht sur une musique de Kurt Weill)
- Miracle à Séville (paroles de Michel Rivgauche et musique de Nelly Marianne)
- Jolie Môme (paroles et musique de Léo Ferré)
- Les Cimetières militaires (paroles de Pierre Louki et musique de Jean Bernard)
- Marions-les (paroles de Robert Nyel et musique de Gaby Verlor)
Avec Henri Patterson au piano et le grand orchestre de l'Olympia dirigé par François Rauber
Réédition couplée avec Olympia 1955 sur 1 CD Mercury Records 981 361-3 (parution en 2004, voir section années 2000)
1982 : Juliette Gréco récital (Philips,1 CD 32PD-190)
- Sous le ciel de Paris, du film Sous le ciel de Paris (paroles de Jean Dréjac et musique d'Hubert Giraud)
- Coin de rue (paroles et musique de Charles Trenet)
- Jolie Môme (paroles et musique de Léo Ferré)
- Romance, du film Le Gantelet vert (paroles d'Henri Bassis et musique de Joseph Kosma)
- On n'oublie rien (paroles de Jacques Brel et musique de Gérard Jouannest)
- Parlez-moi d'amour (paroles et musique de Jean Lenoir)
- La Fiancée du pirate, de L'Opéra de quat'sous (paroles françaises d'André Mauprey d'après des paroles de Bertolt Brecht et musique de Kurt Weill)
- La Chanson des vieux amants (paroles de Jacques Brel et musique de Gérard Jouannest)
- La Fourmi (poème de Robert Desnos et musique de Joseph Kosma)
- Les Feuilles mortes, du film Les Portes de la nuit (paroles de Jacques Prévert et musique de Joseph Kosma)
- Paris Canaille (paroles et musique de Léo Ferré)
- Voir un ami pleurer (paroles et musique de Jacques Brel)
- Rue des Blancs-Manteaux, de la pièce de théâtre Huis clos (paroles de Jean-Paul Sartre et musique de Joseph Kosma)
- Fleur d’orange (paroles de Juliette Gréco et musique de Gérard Jouannest)
- Accordéon (paroles et musique de Serge Gainsbourg)
- J'arrive (paroles de Jacques Brel et musique de Gérard Jouannest)
- Non monsieur je n'ai pas vingt ans (paroles d’Henri Gougaud et musique de Gérard Jouannest)
- L'Embellie (paroles de Maurice Fanon et musique de Gérard Jouannest)
- Mon fils chante (paroles de Maurice Fanon et musique de Gérard Jouannest)
Piano et direction musicale de Gérard Jouannest
Enregistré au Sogetsu Hall de Tokyo en 1981
1989 : Gréco 88 : Hommage à Jacques Brel (Philips, 1 CD 32PD-356)
Paroles et musique de Jacques Brel*
Paroles de Jacques Brel et musique de Gérard Jouannest**
Musique de Gérard Jouannest***
- Quatre notes pour quatre lettres pour un nom « Brel » (instrumental)***
- On n'oublie rien**
- Le Prochain Amour**
- Voir un ami pleurer*
- Bruxelles**
- Je suis bien**
- La Chanson des vieux amants**
- J'arrive**
- Le Tango funèbre**
- Regarde bien petit*
- La Valse à mille temps*
- Ne me quitte pas*
Piano et direction musicale de Gérard Jouannest
Enregistré au Sogetsu Hall de Tokyo en novembre 1988
1992 : Juliette Gréco à l'Olympia (Philips, double CD 512 357-2)
CD 1
- Gréco Ouverture (instrumental)
- Non monsieur je n'ai pas vingt ans (paroles d'Henri Gougaud et musique de Gérard Jouannest)
- La Chanson de Margaret (paroles de Pierre Mac Orlan et musique de V. Marceau)
- Jolie Môme (paroles et musique de Léo Ferré)
- Rivière (paroles de Françoise Mallet-Joris et musique de Marie-Paule Belle)
- On n'oublie rien (paroles de Jacques Brel et musique de Gérard Jouannest)
- La Sieste (paroles de Charlotte Aillaud et musique de Gérard Jouannest)
- Un petit poisson, un petit oiseau (paroles de Jean-Max Rivière et musique de Gérard Bourgeois)
- Doux oiseau de la jeunesse, de la pièce de théâtre Le Doux Oiseau de la jeunesseNote 3,2 (paroles de Françoise Sagan et musique de Frédéric Botton)
- Bruxelles (paroles de Jacques Brel et musique de Gérard Jouannest)
- Les Années d'autrefois (paroles de Richard Cannavo et musique de Gérard Jouannest)
- Rêveuse et Fragile (poème de Robert Desnos et musique de Yánnis Spanós)
- Le Voyageur (paroles de Charlotte Aillaud et musique de Gérard Jouannest)
- Les Pingouins (paroles et musique de Frédéric Botton)
CD 2
- La Folle (paroles de Maurice Fanon et musique de Gérard Jouannest)
- Chœur d'enfants (poème de Jean Tardieu et musique de Gérard Jouannest)
- La Javanaise (paroles et musique de Serge Gainsbourg)
- Accordéon (paroles et musique de Serge Gainsbourg)
- La Chanson des vieux amants (paroles de Jacques Brel et musique de Gérard Jouannest)
- J'arrive (paroles de Jacques Brel et musique de Gérard Jouannest)
- Le Tango funèbre (paroles de Jacques Brel et musique de Gérard Jouannest)
- Si tu t'imagines (poème de Raymond Queneau et musique de Joseph Kosma)
- Déshabillez-moi (paroles de Robert Nyel et musique de Gaby Verlor)
- Les Feuilles mortes, du film Les Portes de la nuit (paroles de Jacques Prévert et musique de Joseph Kosma)
- L'Embellie (paroles de Maurice Fanon et musique de Gérard Jouannest)
- Paris Canaille (paroles et musique de Léo Ferré)
- Rengaine à pleurer (poème de Jean Tardieu et musique de Gérard Jouannest)
Avec Gérard Jouannest et François Rauber aux pianos et à la direction d'orchestre
1999 : Juliette Gréco Odéon 1999 (Disques Meys, double CD MEY 74 482-2)
CD 1
- Prélude (instrumental)
- Vivre (paroles d'Henri Gougaud et musique de Gérard Jouannest)
- Jolie Môme (paroles et musique de Léo Ferré)
- Les Années d'autrefois (paroles de Richard Cannavo et musique de Gérard Jouannest)
- Planète (paroles de Jean-Claude Carrière et musique de Gérard Jouannest)
- Mickey travaille (paroles d'Étienne Roda-Gil et musique de Caetano Veloso)
- On n'oublie rien (paroles de Jacques Brel et musique de Gérard Jouannest)
- Le Contre-ecclésiaste (paroles de Jean-Claude Carrière et musique de Gérard Jouannest)
- Les femmes sont belles (paroles d'Étienne Roda-Gil et musique de Gérard Jouannest)
- Un petit poisson, un petit oiseau (paroles Jean-Max Rivière et musique de Gérard Bourgeois)
- La Porte du jour (paroles de Jean-Claude Carrière et musique de Gérard Jouannest)
- Bruxelles (paroles de Jacques Brel et musique de Gérard Jouannest)
- Comme une idée (paroles de Jean-Claude Carrière et musique de Gérard Jouannest)
CD 2
- Accordéon (paroles et musique de Serge Gainsbourg)
- La Javanaise (paroles et musique de Serge Gainsbourg)
- Un jour d'été (paroles de Jean-Claude Carrière et musique de Gérard Jouannest)
- La Réponse du roi (paroles de Jean-Claude Carrière et musique de Gérard Jouannest)
- C'était un train de nuit (paroles de Jean-Claude Carrière et musique de Gérard Jouannest)
- La Chanson des vieux amants (paroles de Jacques Brel et musique de Gérard Jouannest)
- J'arrive (paroles de Jacques Brel et musique de Gérard Jouannest)
- Les Feuilles mortes, du film Les Portes de la nuit (paroles de Jacques Prévert et musique de Joseph Kosma)
- Paris Canaille (paroles et musique de Léo Ferré)
- Tard (paroles de Jean-Claude Carrière et musique de Gérard Jouannest)
- Présentation des musiciens
- Mon fils chante (paroles de Maurice Fanon et musique de Gérard Jouannest)
- Ne me quitte pas (paroles et musique de Jacques Brel)
- Le Temps des cerises (poème de Jean Baptiste Clément et musique d'Antoine Renard)
Direction d'orchestre et piano Gérard Jouannest
2004 : Juliette Gréco à l'Olympia (Mercury Records, 1 CD 981 361-3)
Réédition couplée des concerts :
- Juliette Gréco à l'Olympia 1955
- Juliette Gréco à l'Olympia 1966
2004 : Juliette Gréco à l'Olympia 2004 (Polydor, double CD 982.161-6)
CD 1
- 771 (ouverture, instrumental)
- Je jouais sous un banc (paroles et musique de Gérard Manset)
- Jolie Môme (paroles et musique de Léo Ferré)
- Pour vous aimer (paroles de Marie Nimier/Jean Rouaud et musique d'Art Mengo)
- Un petit poisson, un petit oiseau (paroles de Jean-Max Rivière et musique de Gérard Bourgeois)
- C'était bien (paroles de Robert Nyel et musique de Gaby Verlor)
- Couvre-feu (paroles de Christophe Miossec et musique de Gérard Jouannest)
- Les Années d'autrefois (paroles de Richard Cannavo et musique de Gérard Jouannest)
- Au temps où (paroles de Jean-Claude Carrière et musique de Gérard Jouannest)
- Le Contre-ecclésiaste (paroles de Jean-Claude Carrière et musique de Gérard Jouannest)
- Trois petites notes de musique, du film Une aussi longue absence (paroles d'Henri Colpi et musique de Georges Delerue)
- Bruxelles (paroles de Jacques Brel et musique de Gérard Jouannest)
- Deux au monde (paroles et musique de Benjamin Biolay)
- Accordéon (paroles et musique de Serge Gainsbourg)
CD 2
- La Javanaise (paroles et musique de Serge Gainsbourg)
- C'était un train de nuit (paroles de Jean-Claude Carrière et musique de Gérard Jouannest)
- La Rose et le Réséda (paroles de Louis Aragon et musique de Bernard Lavilliers)
- Déshabillez-moi (paroles de Robert Nyel et musique de Gaby Verlor)
- Un jour d'été (paroles de Jean-Claude Carrière et musique de Gérard Jouannest)
- L'Amour flou (paroles de Benjamin Biolay et musique de Gérard Jouannest)
- La Chanson des vieux amants (paroles de Jacques Brel et musique de Gérard Jouannest)
- J'arrive (paroles de Jacques Brel et musique de Gérard Jouannest)
- Les Feuilles mortes, du film Les Portes de la nuit (paroles de Jacques Prévert et musique de Joseph Kosma)
- Paris Canaille (paroles et musique de Léo Ferré)
- Tard (paroles de Jean-Claude Carrière et musique de Gérard Jouannest)
- Ne me quitte pas (paroles et musique de Jacques Brel)
- Le Temps des cerises (poème de Jean Baptiste Clément et musique d'Antoine Renard)
Direction d'orchestre de Gérard Jouannest
Compilations
Extrêmement nombreuses depuis l'avènement du CD, parmi ces compilations, trois éditions combinant titres essentiels avec d'autres moins connus :
- 1990 : Je suis comme je suis, double CD Phonogram/Philips 846 823-2 (compilation commercialisée parallèlement à l'anthologie éditée par le même label la même année), réédition Mercury Records en 2002.
- 1991 : Déshabillez-moi, 1 CD, réédition Mercury Records en 2003.
- 2000 : Gréco, incluant 1 livret illustré 34 pages (biographie par Raoul Bellaïche) et 1 CD 23 titres, Mercury Records/Universal 542 844-2.
- 2015 : Merci !, 2 CD 37 titres Deutsche Grammophon.
- 1965 : Belphégor ou le Fantôme du Louvre, feuilleton télévisé de Claude Barma : Laurence/Stéphanie — À la suite du succès de ce feuilleton, dans lequel elle ne chante pas, Gréco enregistre postérieurement la chanson Belphégor (le compositeur Philippe-Gérard s'inspire de la musique composée par Antoine Duhamel pour le feuilleton).